Programme d’urgence agricole: 12543 agriculteurs touchés dans le Gbêkê, le Hambol, le Tchologo, le Poro et la Bagoué
En vue de faire face à la crise sanitaire à Covid-19, le gouvernement a sollicité auprès du Fonds international de développement agricole (Fida) un appui financier de 1 200 000 000 FCfa, pour aider les petits producteurs de la filière maraîchère à travers le Programme d’appui au développement des filières agricoles (Padfa).
L’Etat de Côte d’Ivoire a ainsi mis en place le programme d’urgence agricole (Purga) qui visait à maintenir l’activité économique, préserver l’emploi et faciliter la reprise économique et qui a été mené de 2022 à 2023 avec l’appui technique de l’Anader.
C’est pour faire le bilan du Purga 1 dans les cinq régions que sont le Gbêkê, le Hambol, le Tchologo, le Poro et la Bagoué qu’un atelier-bilan a été organisé, du 13 au 14 juillet 2023, dans un réceptif hôtelier de Bouaké, présidé par Clément Kouadio, responsable cellule évaluation du Padfa, représentant Edja Messou, coordonnateur du Pafda.
Si l’on en croit Clément Kouadio, ce programme a permis d’acquérir des semences et des intrants qui ont été mis à la disposition de ces petits producteurs dont les activités ont été mis à mal à la faveur de la Covid-19.
« Nous avons pu toucher près de 12 543 bénéficiaires qui ont pu bénéficier des actions de ce programme. Pour mener à bien leurs activités champêtres, ils ont bénéficié de l’encadrement technique de l’Anader », a indiqué, le responsable de la cellule évaluation du Pafda. Qui s’est réjoui de ce qu’en terme de revenu, les petits producteurs ont vu leurs activités leur générer la bagatelle de 5 milliards de FCfa.
« Si nous ramenons cette manne financière à chacun des petits producteurs, cela leur a permis de s’en sortir avec une somme de 400 à 500 000 FCfa », s’est réjoui Clément Kouadio.
Alexandre Koffi Gboko, coordonnateur national des filières horticoles à l’Anader, par ailleurs point focal des projets financés par le Fida, a tenu à féliciter l’État qui a vu juste en venant en aide à ces petits producteurs dont les activités étaient en danger du fait de la pandémie à Covid-19.
« L’apport de l’État et ses partenaires, en mettant à la disposition des semences, des intrants et surtout des produits phytosanitaires et des engrais qui coûtent chers, a été un soulagement pour nos petits producteurs », a fait remarquer le coordonnateur national des filières horticoles à l’Anader.
« L’Anader a suivi ces petits producteurs en les formant dans les meilleures techniques culturales qui leur ont permis d’avoir des productions de qualité et en quantité », a-t-il soutenu.
Au terme de l’atelier, la cinquantaine de participants de la mise en œuvre du Purga 1 ont partagé les leçons apprises et ont pu faire des recommandations pertinentes pour la formulation de nouveaux projets d’urgence dans la filière.
C’est pour faire le bilan du Purga 1 dans les cinq régions que sont le Gbêkê, le Hambol, le Tchologo, le Poro et la Bagoué qu’un atelier-bilan a été organisé, du 13 au 14 juillet 2023, dans un réceptif hôtelier de Bouaké, présidé par Clément Kouadio, responsable cellule évaluation du Padfa, représentant Edja Messou, coordonnateur du Pafda.
Si l’on en croit Clément Kouadio, ce programme a permis d’acquérir des semences et des intrants qui ont été mis à la disposition de ces petits producteurs dont les activités ont été mis à mal à la faveur de la Covid-19.
« Nous avons pu toucher près de 12 543 bénéficiaires qui ont pu bénéficier des actions de ce programme. Pour mener à bien leurs activités champêtres, ils ont bénéficié de l’encadrement technique de l’Anader », a indiqué, le responsable de la cellule évaluation du Pafda. Qui s’est réjoui de ce qu’en terme de revenu, les petits producteurs ont vu leurs activités leur générer la bagatelle de 5 milliards de FCfa.
« Si nous ramenons cette manne financière à chacun des petits producteurs, cela leur a permis de s’en sortir avec une somme de 400 à 500 000 FCfa », s’est réjoui Clément Kouadio.
Alexandre Koffi Gboko, coordonnateur national des filières horticoles à l’Anader, par ailleurs point focal des projets financés par le Fida, a tenu à féliciter l’État qui a vu juste en venant en aide à ces petits producteurs dont les activités étaient en danger du fait de la pandémie à Covid-19.
« L’apport de l’État et ses partenaires, en mettant à la disposition des semences, des intrants et surtout des produits phytosanitaires et des engrais qui coûtent chers, a été un soulagement pour nos petits producteurs », a fait remarquer le coordonnateur national des filières horticoles à l’Anader.
« L’Anader a suivi ces petits producteurs en les formant dans les meilleures techniques culturales qui leur ont permis d’avoir des productions de qualité et en quantité », a-t-il soutenu.
Au terme de l’atelier, la cinquantaine de participants de la mise en œuvre du Purga 1 ont partagé les leçons apprises et ont pu faire des recommandations pertinentes pour la formulation de nouveaux projets d’urgence dans la filière.