Kickboxing : Daligozo présente sa ceinture au Grand Me Bamba Cheick Daniel
Fabrice Gendré alias Daligozo était, la semaine dernière, dans les locaux de l’Agence foncière rurale (Afor), à Angré 7e tranche.
Trois fois champion du monde des poids lourds de kickboxing, sport de combat moderne inspiré de la boxe anglaise et de la boxe française, mêlant pieds, poings, genoux et coudes, il était venu présenter sa dernière ceinture au Grand maître d’arts martiaux qu’est Bamba Cheick Daniel, ceinture noire 7e dan, ancien président de la Fédération ivoirienne de taekwondo et actuel vice-président de la Confédération africaine de taekwondo (Aftu).
Un troisième titre obtenu le 8 juillet, au Centre sportif, culturel et des Tic ivoiro-coréen Alassane Ouattara (Cscticao), à Abidjan. Le préfet hors grade, directeur général de l’Afor et président du centre, dont la passion pour les arts martiaux est connue de tous, a tenu à exprimer sa fierté au champion ivoirien.
« Je suis très fier de cette performance. Tu as fait honneur au pays. Malheureusement, je n'ai pu être présent pour suivre le combat, mais j’ai vu quelques vidéos et je peux dire que tu as été vaillant face à un adversaire de taille. Tu as toute mon admiration », a-t-il indiqué.
Sans trembler, Daligozo n’a eu besoin que de quatre petites minutes (deux rounds) pour obliger son adversaire, le Marocain Rochid Abdereahmane, à garder le tapis.
De quoi faire plaisir à Bamba Cheick Daniel qui se dit « totalement disponible pour aider celui qu’il appelle affectueusement « son fils ». Une vieille amitié le lie à son père.
L’athlète, qui réside en France depuis près de dix ans, a disputé plusieurs combats internationaux. « Mais j'ai décidé de boxer pour la Côte d'Ivoire et c'est le troisième titre de champion du monde que je remporte pour mon pays », confiait fièrement le boxeur qui a besoin d’être encouragé par l’État ivoirien.
Un troisième titre obtenu le 8 juillet, au Centre sportif, culturel et des Tic ivoiro-coréen Alassane Ouattara (Cscticao), à Abidjan. Le préfet hors grade, directeur général de l’Afor et président du centre, dont la passion pour les arts martiaux est connue de tous, a tenu à exprimer sa fierté au champion ivoirien.
« Je suis très fier de cette performance. Tu as fait honneur au pays. Malheureusement, je n'ai pu être présent pour suivre le combat, mais j’ai vu quelques vidéos et je peux dire que tu as été vaillant face à un adversaire de taille. Tu as toute mon admiration », a-t-il indiqué.
Sans trembler, Daligozo n’a eu besoin que de quatre petites minutes (deux rounds) pour obliger son adversaire, le Marocain Rochid Abdereahmane, à garder le tapis.
De quoi faire plaisir à Bamba Cheick Daniel qui se dit « totalement disponible pour aider celui qu’il appelle affectueusement « son fils ». Une vieille amitié le lie à son père.
L’athlète, qui réside en France depuis près de dix ans, a disputé plusieurs combats internationaux. « Mais j'ai décidé de boxer pour la Côte d'Ivoire et c'est le troisième titre de champion du monde que je remporte pour mon pays », confiait fièrement le boxeur qui a besoin d’être encouragé par l’État ivoirien.