8e championnat africain du wushu: Six médailles d’or pour la Côte d’Ivoire
Pendant trois jours (22, 23 et 24 juillet), Abidjan était devenue la capitale de Kung fu wushu. C’était à l’occasion de la huitième édition du championnat national de Kung fu wushu.
Plusieurs tireurs issus de huit pays du continent ont produit du spectacle au palais des sports de Treichville. A la fin de ce grand rendez-vous continental, la Côte d’Ivoire, pays d’accueil, a récolté 3 médailles d’or en Tao lu (démonstration) et autant en Sanda (version sportive du Kung fu).
Avec un total de 6 médailles d’or, les Ivoiriens ont terminé sur la deuxième marche du podium, juste derrière l’Égypte qui a fait le plein des médailles (11 d’or en Tao lu et 7 en Sanda).
Au tableau du classement final, le Sénégal arrive en troisième position avec une médaille d’or en Tao lu et deux en Sanda. « La dextérité et l’engagement de chacun des athlètes ont fait la différence. A travers le Wushu Kung-Fu, nous cherchons à construire la personnalité des athlètes. Ce qui signifie que derrière cette compétition, il y a tout un processus de construction de l'individu », a indiqué Maître Siaka Méïté, président de la Fédération ivoirienne de Wushu.
Patron des arts martiaux chinois, il a salué Shérif Moustapha, président de la Fédération africaine de Wushu, dont l’action a été déterminante pour que la Côte d’Ivoire abrite ce 8e championnat.
L’Égyptien s’est dit heureux d’être au pays d’Houphouët-Boigny et s’est réjoui du succès de la compétition.
Avec un total de 6 médailles d’or, les Ivoiriens ont terminé sur la deuxième marche du podium, juste derrière l’Égypte qui a fait le plein des médailles (11 d’or en Tao lu et 7 en Sanda).
Au tableau du classement final, le Sénégal arrive en troisième position avec une médaille d’or en Tao lu et deux en Sanda. « La dextérité et l’engagement de chacun des athlètes ont fait la différence. A travers le Wushu Kung-Fu, nous cherchons à construire la personnalité des athlètes. Ce qui signifie que derrière cette compétition, il y a tout un processus de construction de l'individu », a indiqué Maître Siaka Méïté, président de la Fédération ivoirienne de Wushu.
Patron des arts martiaux chinois, il a salué Shérif Moustapha, président de la Fédération africaine de Wushu, dont l’action a été déterminante pour que la Côte d’Ivoire abrite ce 8e championnat.
L’Égyptien s’est dit heureux d’être au pays d’Houphouët-Boigny et s’est réjoui du succès de la compétition.