Coopération économique : La Côte d’Ivoire présente ses opportunités d’investissement aux chefs d’entreprises écossais
Une table ronde d'affaires pour renforcer la coopération Côte d'Ivoire-Écosse
Les entreprises écossaises souhaitent s'ouvrir davantage aux pays d'Afrique de l'Ouest, en particulier la Côte d'Ivoire, afin d'explorer les opportunités d'investissements et de coopération dans divers domaines. À cet effet, une table ronde d'affaires a été initiée par l’ambassade de Côte d’Ivoire au Royaume-Uni et la Scottish Africa Business Association pour discuter des opportunités d’échange et de coopération entre les deux nations.
Conduite par M. Frazer Lang, directeur général de la Scottish Africa Business Association, la délégation écossaise comprenait 25 chefs d’entreprises et des responsables d’établissements d’enseignement supérieur à la recherche de partenariats techniques et scientifiques.
Le rôle du secteur privé dans la croissance économique ivoirienne
D’entrée, Son Excellence Mme Amani Sara, Ambassadeur de Côte d’Ivoire au Royaume-Uni, qui présidait la rencontre, a rappelé que « la politique de développement économique promue par le Président de la République, Son Excellence Alassane Ouattara, depuis son accession au pouvoir, place le secteur privé au premier rang des moteurs de la croissance économique ». Elle a souhaité que cette table ronde démontre l’engagement partagé de la Côte d’Ivoire et de l’Écosse à favoriser la croissance économique grâce à des partenariats concrets, ouvrant ainsi la voie à des projets innovants bénéfiques pour les deux nations.
La rencontre, organisée en format hybride (présentiel et visioconférence), a réuni des représentants du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, du ministère de l’Industrie, et du Centre de Promotion des Investissements en Côte d’Ivoire (CEPICI).
Des secteurs clés au cœur des discussions
Les échanges ont porté sur le renforcement de la coopération économique et la collaboration dans des domaines stratégiques tels que l’énergie, l’agriculture, l’agro-industrie, l’enseignement supérieur, la formation professionnelle, l’aquaculture, les énergies renouvelables, la fintech, le commerce (import-export), et d’autres secteurs en quête d’investissements.