Sportivement : Prendre soin de cette jeunesse qui gagne
Dans quelques jours (du 25 août au 10 septembre), débutera la Coupe du monde de basket-ball. Pour la première fois, l’événement planétaire va se dérouler concomitamment dans trois villes asiatiques, dans trois pays différents (Jakarta en Indonésie, Manille aux Philippines et Okinawa au Japon).
Il y aura 32 équipes participantes et cela donnera un total de 92 matches en 16 jours de compétition. Rien que du spectacle !
Les Ivoiriens seront basés à Jakarta, où ils affronteront, tour à tour, l’Espagne (13 h 30, heure de Côte d’Ivoire), le 26 août, à la salle Indonesia arena ; l’Irlande, le 28 août, à 9 h 45 et le Brésil à la même heure, dans la même salle, le 30 août.
Ce sont des millions de spectateurs à travers le monde qui admireront nos Pachydermes et se familiariseront avec notre hymne national, l’Abidjanaise.
Ces garçons formatés pour gagner font la fierté de toute la nation depuis l’Afrobasket 2021, au Rwanda. Ils ont été les premiers à se qualifier pour cette Coupe du monde, après avoir remporté tous leurs matches.
En cette année de la jeunesse, voir, pour un sport taxé à tort de mineur, tous ces jeunes s’illustrer à travers le monde doit nous interpeller tous.
Pourquoi ne pas emboîter le pas au Chef de l’État et donner les moyens à ces jeunes d’être libres dans leur tête afin d’aller combattre pour le pays ? Ils n’ont besoin que de 1,4 milliard de F Cfa.
Ce budget prend en compte la préparation de l’équipe ; ils ont commencé le 10 juillet à Abidjan. Ensuite, ils se sont retrouvés en Espagne avec 19 joueurs professionnels, au Portugal et en Serbie pour des tests de haut niveau, avant de revenir à Abidjan.
D’Abidjan, ils se rendront au Liban, puis en Chine, avant de rallier Jakarta, leur base, en Indonésie. Ce budget prend en compte les primes des joueurs, leurs déplacements et autres dépenses.
La Côte d’Ivoire peut gérer cela, elle qui a déjà dépensé plus de 500 milliards de F Cfa pour rénover et construire des stades haut de gamme pour le football.
«Dans tous les cas, nous avons été instruits par le Président de la République pour faire en sorte que tout se passe bien», déclarait, lors du dîner d’Akwaba aux joueurs, le 7 août, le ministre Paulin Claude Danho.
Il serait peut être prétentieux de dire que les Ivoiriens vont remporter cette Coupe du monde 2023 devant les Usa, l’Espagne et autres. Mais cette Côte d’Ivoire d’Alassane Ouattara ne part pas résignée en Asie.
C’est pour booster le moral de la troupe et demander que le peuple les accompagne avec ses prières que la Fédération ivoirienne de basket-ball (Fibb), sous la direction du président Mahama Coulibaly, a voulu qu’en route pour la Coupe du monde, l’équipe passe par Abidjan.
Ainsi, les Éléphants basketteurs ont pu fêter, même si c’était sobre (en raison du deuil national ), le 63e anniversaire du pays en compagnie du ministre des Sports.
Ils vont poursuivre leur préparation au Liban dès ce samedi 12 août. Mais avant, ils recevront le drapeau ivoirien en présence des autorités nationales.
Une manière pour le pays de les mettre officiellement en mission et d’encourager cette génération de jeunes joueurs à être déterminés et à se battre pour ramener des lauriers.
Ce n’est pas toujours qu’en Côte d’Ivoire, une équipe nationale se fait remettre le drapeau national avant d’aller combattre. Vous avez dit année de la jeunesse ? Eh bien, c’est le moment de miser sur cette jeunesse. Leur projet est visible. Sportivement !
Les Ivoiriens seront basés à Jakarta, où ils affronteront, tour à tour, l’Espagne (13 h 30, heure de Côte d’Ivoire), le 26 août, à la salle Indonesia arena ; l’Irlande, le 28 août, à 9 h 45 et le Brésil à la même heure, dans la même salle, le 30 août.
Ce sont des millions de spectateurs à travers le monde qui admireront nos Pachydermes et se familiariseront avec notre hymne national, l’Abidjanaise.
Ces garçons formatés pour gagner font la fierté de toute la nation depuis l’Afrobasket 2021, au Rwanda. Ils ont été les premiers à se qualifier pour cette Coupe du monde, après avoir remporté tous leurs matches.
En cette année de la jeunesse, voir, pour un sport taxé à tort de mineur, tous ces jeunes s’illustrer à travers le monde doit nous interpeller tous.
Pourquoi ne pas emboîter le pas au Chef de l’État et donner les moyens à ces jeunes d’être libres dans leur tête afin d’aller combattre pour le pays ? Ils n’ont besoin que de 1,4 milliard de F Cfa.
Ce budget prend en compte la préparation de l’équipe ; ils ont commencé le 10 juillet à Abidjan. Ensuite, ils se sont retrouvés en Espagne avec 19 joueurs professionnels, au Portugal et en Serbie pour des tests de haut niveau, avant de revenir à Abidjan.
D’Abidjan, ils se rendront au Liban, puis en Chine, avant de rallier Jakarta, leur base, en Indonésie. Ce budget prend en compte les primes des joueurs, leurs déplacements et autres dépenses.
La Côte d’Ivoire peut gérer cela, elle qui a déjà dépensé plus de 500 milliards de F Cfa pour rénover et construire des stades haut de gamme pour le football.
«Dans tous les cas, nous avons été instruits par le Président de la République pour faire en sorte que tout se passe bien», déclarait, lors du dîner d’Akwaba aux joueurs, le 7 août, le ministre Paulin Claude Danho.
Il serait peut être prétentieux de dire que les Ivoiriens vont remporter cette Coupe du monde 2023 devant les Usa, l’Espagne et autres. Mais cette Côte d’Ivoire d’Alassane Ouattara ne part pas résignée en Asie.
C’est pour booster le moral de la troupe et demander que le peuple les accompagne avec ses prières que la Fédération ivoirienne de basket-ball (Fibb), sous la direction du président Mahama Coulibaly, a voulu qu’en route pour la Coupe du monde, l’équipe passe par Abidjan.
Ainsi, les Éléphants basketteurs ont pu fêter, même si c’était sobre (en raison du deuil national ), le 63e anniversaire du pays en compagnie du ministre des Sports.
Ils vont poursuivre leur préparation au Liban dès ce samedi 12 août. Mais avant, ils recevront le drapeau ivoirien en présence des autorités nationales.
Une manière pour le pays de les mettre officiellement en mission et d’encourager cette génération de jeunes joueurs à être déterminés et à se battre pour ramener des lauriers.
Ce n’est pas toujours qu’en Côte d’Ivoire, une équipe nationale se fait remettre le drapeau national avant d’aller combattre. Vous avez dit année de la jeunesse ? Eh bien, c’est le moment de miser sur cette jeunesse. Leur projet est visible. Sportivement !