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Planning familiale et Vbg: L’Ensea présente officiellement la phase 3 du projet « Performance Monitoring for Action »
L’Ecole nationale supérieure de statistique et d’économique appliquée (Ensea) a présenté officiellement la dissémination des résultats de la phase 3 du projet dénommé « Performance Monitoring for Action » (Pma) au cours d’un atelier organisé, le 17 août 2023, au sein cette école à Abidjan-Cocody.
C’est un projet dont la phase pilote est de mettre en œuvre des enquêtes transversales et un panel longitudinal auprès des femmes et sites de prestation de santé. Il a bénéficié de l’appui technique et financier de la Fondation Bill & Melinda Gates. L’objectif étant de faire progresser les connaissances relatives à la dynamique contraceptive et à la santé de la reproduction sur le plan programmatique.
A l’ouverture, Dr. N’guessan Jean représentant le directeur général de la santé Prof Mamadou Samba a traduit sa gratitude, selon lui, il est nécessaire de réduire la problématique de la santé maternelle et infantile qui demeure une préoccupation majeure en Côte d’Ivoire et ayant un taux de mortalité élevé.
A cette occasion, Dr Fe Doukouré Charles représentant le directeur de l’Ensea Dr Kouadio Hugues a indiqué que ces opérations ont permis d’obtenir auprès des femmes âgées de 15 à 49 ans des informations relatives à la demande et l’utilisation de méthodes contraceptives, à la dynamique contraceptive et d’obtenir des informations relatives à l’offre et à la qualité de service auprès des structures de santé qui desservent les zones concernées par l’étude.
Dans sa présentation, Dr Mosso Rosine chercheure principale du projet a donné quelques indices. Selon elle, le taux de prévalence contraceptive moderne (Tpcm) parmi les femmes en union est passé de 19% en 2017 à 27% en 2022, celui des jeunes filles de 20-24 ans est passé de 27% en 2021 à 35 % en 2022, la proportion d’utilisation des méthodes contraceptives à longue durée d’action est en augmentation, soit 7% en 2022 contre 3% en 2017, les besoins non satisfaisants en planning familiale sont en baisse, passant de 26% en 2017 à 17% en 2022 etc. Il faut souligner que l’étude a débuté en 2019 et réaliser dans 122 zones de dénombrement.
Info : JB.
A l’ouverture, Dr. N’guessan Jean représentant le directeur général de la santé Prof Mamadou Samba a traduit sa gratitude, selon lui, il est nécessaire de réduire la problématique de la santé maternelle et infantile qui demeure une préoccupation majeure en Côte d’Ivoire et ayant un taux de mortalité élevé.
A cette occasion, Dr Fe Doukouré Charles représentant le directeur de l’Ensea Dr Kouadio Hugues a indiqué que ces opérations ont permis d’obtenir auprès des femmes âgées de 15 à 49 ans des informations relatives à la demande et l’utilisation de méthodes contraceptives, à la dynamique contraceptive et d’obtenir des informations relatives à l’offre et à la qualité de service auprès des structures de santé qui desservent les zones concernées par l’étude.
Dans sa présentation, Dr Mosso Rosine chercheure principale du projet a donné quelques indices. Selon elle, le taux de prévalence contraceptive moderne (Tpcm) parmi les femmes en union est passé de 19% en 2017 à 27% en 2022, celui des jeunes filles de 20-24 ans est passé de 27% en 2021 à 35 % en 2022, la proportion d’utilisation des méthodes contraceptives à longue durée d’action est en augmentation, soit 7% en 2022 contre 3% en 2017, les besoins non satisfaisants en planning familiale sont en baisse, passant de 26% en 2017 à 17% en 2022 etc. Il faut souligner que l’étude a débuté en 2019 et réaliser dans 122 zones de dénombrement.
Info : JB.