L'éditorial de Adama Koné : D’un PADO à un autre
Il y a quelques semaines, nous écrivions sur les rendez-vous de bonheur que prenait le Président de la République, Alassane Ouattara, avec le peuple ivoirien.
Il est bon de rappeler que le premier signal était en 1990. A la place du plan Koumoué Koffi, assis sur la réduction des salaires pour faire face à la mauvaise conjoncture, le responsable du comité interministériel d’alors (Alassane Ouattara) proposait le PADO (Plan Alassane Dramane Ouattara), le premier.
Une batterie d’actions courageuses, vigoureuses et efficientes qui se sont révélées salutaires pour la population et bénéfiques pour les caisses de l’État de Côte d’Ivoire.
Depuis, plusieurs autres actions ont suivi. Entre autres, le déblocage et le relèvement des salaires des fonctionnaires, la hausse du Salaire minimum interprofessionnel garanti (Smig).
Aujourd’hui, 33 ans après, le Président Ouattara prend date encore avec les Ivoiriens. Ce, avec ce qu’on pourrait appeler, symboliquement, le deuxième PADO. Non pas le plan de 1990, mais le Pont Alassane Dramane Ouattara (PADO).
D’un PADO à un autre, le Chef de l’État reste fidèle non seulement à sa ferme croyance de faire de la Côte d’Ivoire un pays développé, mais également à sa démarche d’y parvenir de manière structurée et avec méthode. En posant chaque élément constructeur du puzzle à sa place, dans un climat de paix.
Le Pont Alassane Dramane Ouattara, on peut le croire, prend aussi, certainement, une bénédiction auprès d’un édifice religieux presque voisin : la Cathédrale Saint Paul du Plateau.
La ressemblance architecturale est flagrante. L’architecture triangulaire, symbolisant le mystère de la trinité et la forme parabolique qui s’élève jusqu’à 70 mètres, avec des cordes rattachées au sommet.
Non loin de cette cathédrale, on peut observer la forme pratiquement similaire du pilonne du pont à haubans qui culmine à 108 mètres dans le ciel abidjanais.
Pont dont le plateau est aussi soutenu par un cordage métallique. Quelle harmonie ! D’ailleurs, c’est le seul pont dans le monde dont les haubans (câbles) sont illuminés, à la tombée de la nuit. Donnant une signature particulière à l’œuvre. C’est la Côte d’Ivoire des grandeurs.
Tout comme la Basilique Notre Dame de la paix de Yamoussoukro est la plus grande du monde.
C’est à croire que le Chef de l’État Alassane Ouattara marche dans les pas de son inspirateur, le premier Président ivoirien, Félix Houphouët-Boigny. Pouvait-il en être autrement ? L’élève a appris.
Dans une interview accordée à Fraternité Matin, dans les derniers jours de sa vie, le général Gaston Ouassénan Koné affirmait : « Le Président Ouattara est un bel exemple de ce que je dis. Vous voyez comment il dirige le pays ? Tout ce qu’il fait montre qu’il a appris. Il a eu cette chance. Je dirai, c’est une chance pour nous les Ivoiriens, que ce soit quelqu’un qui ait été Premier ministre d’Houphouët qui soit à la tête du pays. Il sait par quel bout prendre telle ou telle chose. Quand vous n’avez jamais participé à la gestion d’un pays, c’est différent. Un pays se gère, mais pour le gérer, il faut avoir un savoir-faire ».
Toutefois, une chose est d’apprendre, une autre chose est de savoir se servir de ce qu’on a appris. En classe, il y a les leçons.
La bonne compréhension de ces leçons s’apprécie dans les exercices d’application. Si le Président Alassane Ouattara a appris auprès de son père, il a aujourd’hui la truelle de la construction du pays entres les mains.
Et ces actions illustrent bien la réussite de ses exercices d’application. Dans quelques jours, il en rajoutera à l’héritage laissé par le Président Houphouët-Boigny. Par le prolongement de l’autoroute du Nord.
A travers l’inauguration du tronçon Tiébissou-Bouaké, annoncée pour ce jeudi 24 août. Bouclant du coup un rajout de plus de 200 Kilomètres de route transformés en autoroute aux 140 Km réalisés par le premier Président ivoirien.
L’élève veut dépasser le maître. En la matière, cela est souhaitable. Il faut laisser à la postérité plus qu’on en a reçu de ses prédécesseurs. C’est la loi de la valorisation des générations.
Pour terminer, on se souviendra que la route précède le développement. On ajouterait que la route est un accélérateur du développement.
Dans la confusion, certaines langues ont dit qu’on ne mange pas le goudron. Qu’on ne mange pas la route.
Mais, très vite, elles ont emprunté ces routes pour se rendre aux dîners. Et elles sont revenues à la maison, sans risque de ballonnement ou de mauvaise digestion, pour avoir pratiqué des voies sans soubresauts, des voies qui ouvrent la voie au confort. Que vive le développement !
Une batterie d’actions courageuses, vigoureuses et efficientes qui se sont révélées salutaires pour la population et bénéfiques pour les caisses de l’État de Côte d’Ivoire.
Depuis, plusieurs autres actions ont suivi. Entre autres, le déblocage et le relèvement des salaires des fonctionnaires, la hausse du Salaire minimum interprofessionnel garanti (Smig).
Aujourd’hui, 33 ans après, le Président Ouattara prend date encore avec les Ivoiriens. Ce, avec ce qu’on pourrait appeler, symboliquement, le deuxième PADO. Non pas le plan de 1990, mais le Pont Alassane Dramane Ouattara (PADO).
D’un PADO à un autre, le Chef de l’État reste fidèle non seulement à sa ferme croyance de faire de la Côte d’Ivoire un pays développé, mais également à sa démarche d’y parvenir de manière structurée et avec méthode. En posant chaque élément constructeur du puzzle à sa place, dans un climat de paix.
Le Pont Alassane Dramane Ouattara, on peut le croire, prend aussi, certainement, une bénédiction auprès d’un édifice religieux presque voisin : la Cathédrale Saint Paul du Plateau.
La ressemblance architecturale est flagrante. L’architecture triangulaire, symbolisant le mystère de la trinité et la forme parabolique qui s’élève jusqu’à 70 mètres, avec des cordes rattachées au sommet.
Non loin de cette cathédrale, on peut observer la forme pratiquement similaire du pilonne du pont à haubans qui culmine à 108 mètres dans le ciel abidjanais.
Pont dont le plateau est aussi soutenu par un cordage métallique. Quelle harmonie ! D’ailleurs, c’est le seul pont dans le monde dont les haubans (câbles) sont illuminés, à la tombée de la nuit. Donnant une signature particulière à l’œuvre. C’est la Côte d’Ivoire des grandeurs.
Tout comme la Basilique Notre Dame de la paix de Yamoussoukro est la plus grande du monde.
C’est à croire que le Chef de l’État Alassane Ouattara marche dans les pas de son inspirateur, le premier Président ivoirien, Félix Houphouët-Boigny. Pouvait-il en être autrement ? L’élève a appris.
Dans une interview accordée à Fraternité Matin, dans les derniers jours de sa vie, le général Gaston Ouassénan Koné affirmait : « Le Président Ouattara est un bel exemple de ce que je dis. Vous voyez comment il dirige le pays ? Tout ce qu’il fait montre qu’il a appris. Il a eu cette chance. Je dirai, c’est une chance pour nous les Ivoiriens, que ce soit quelqu’un qui ait été Premier ministre d’Houphouët qui soit à la tête du pays. Il sait par quel bout prendre telle ou telle chose. Quand vous n’avez jamais participé à la gestion d’un pays, c’est différent. Un pays se gère, mais pour le gérer, il faut avoir un savoir-faire ».
Toutefois, une chose est d’apprendre, une autre chose est de savoir se servir de ce qu’on a appris. En classe, il y a les leçons.
La bonne compréhension de ces leçons s’apprécie dans les exercices d’application. Si le Président Alassane Ouattara a appris auprès de son père, il a aujourd’hui la truelle de la construction du pays entres les mains.
Et ces actions illustrent bien la réussite de ses exercices d’application. Dans quelques jours, il en rajoutera à l’héritage laissé par le Président Houphouët-Boigny. Par le prolongement de l’autoroute du Nord.
A travers l’inauguration du tronçon Tiébissou-Bouaké, annoncée pour ce jeudi 24 août. Bouclant du coup un rajout de plus de 200 Kilomètres de route transformés en autoroute aux 140 Km réalisés par le premier Président ivoirien.
L’élève veut dépasser le maître. En la matière, cela est souhaitable. Il faut laisser à la postérité plus qu’on en a reçu de ses prédécesseurs. C’est la loi de la valorisation des générations.
Pour terminer, on se souviendra que la route précède le développement. On ajouterait que la route est un accélérateur du développement.
Dans la confusion, certaines langues ont dit qu’on ne mange pas le goudron. Qu’on ne mange pas la route.
Mais, très vite, elles ont emprunté ces routes pour se rendre aux dîners. Et elles sont revenues à la maison, sans risque de ballonnement ou de mauvaise digestion, pour avoir pratiqué des voies sans soubresauts, des voies qui ouvrent la voie au confort. Que vive le développement !