Des parchemins remis à certains formés. (Ph: Dr)

A l’occasion, huit panelistes, des personnes âgées, des femmes et des jeunes de tous ordres sont venus faire le diagnostic des difficultés de communication entre générations.

Si pour les jeunes, la perte des valeurs et le déficit de communication est à mettre au compte des parents qui « ne suivent pas le train de la modernité, ou ne se rendent pas disponibles à les écouter », selon Cheick Traoré, chargé de l’information à la jeunesse communale, et paneliste.

Pour les parents, « les jeunes doivent faire le pas vers les parents pour apprendre », selon Djè Omer, enseignant, conseiller Coges, également paneliste.

La photo de famille pour immortaliser l'événement. (Ph: Dr)

Les parents ont été mis à l’index d’avoir abandonné l’éducation de leurs enfants aux enseignants, tandis que l’indiscipline des jeunes et internet ont été pointés du doigt.

L’initiative a été fortement appréciée par les populations de la commune.

Le 3^e adjoint au maire, Patrice N’cho, et la représentante du Sous-préfet Hélène Ezoua ont salué la pertinence de cette activité, une grande première dans leur commune.

La veille de ces Dig, les animateurs des radios de proximité d’Agboville, de Sikensi, de Tiassalé et d’Azaguié ont bénéficié d’une formation sur la conception et la présentation de débat radiodiffusé, animée par Marie-Laure Zakry, journaliste et enseignante à l’Istc-Polytechnique.

Firmin NDri Bonfils