Le vote a été arrêté pendant près de 2 heures. (Ph: Franck YEO)
Abobo-Houantoué : Le vote arrêté pendant près de 2 heures au bureau de vote N°10
Le vote comptant pour les élections municipales dans la commune d’Abobo ce samedi 2 septembre 2023, a été arrêté près de deux heures, au groupe scolaire Houantoué précisément au bureau de vote N°10, aux environs de 10h 40 min.
Les faits. Le vote a démarré à 8h00 en présence des représentants des différents candidats. Au cours de l’opération, l’un a estimé qu’il faut que la présidente du bureau signe au verseau de tous les bulletins de vote. Ce qui n’a pas été fait depuis le début du vote.
Alors ensemble, ils ont décidé d’ouvrir l’urne afin de permettre à la présidente d’apposer sa signature. Au même moment un superviseur de l’un des candidats de passage dans ce bureau de vote tombe sur la scène et a estimé que c’était de la fraude. Ce qui naturellement a entraîné l’arrêt du vote.
Il a fallu l’intervention du président de la Commission électorale locale d’Abobo, Coulibaly Souleymane, pour remettre les choses en ordre.
« Le problème est que les agents en accord avec les représentants des candidats ont bien voulu apposer des insignes de sécurisation de leurs bulletins de vote au verseau et cela, la loi le permet », a expliqué Coulibaly Souleymane, rappelant que cela n’a pas été fait au départ et ils ont bien voulu le rattraper de façon consensuelle.
« C’est sur cet accord-là qu’ils ont ouvert l’urne. Un superviseur d’un candidat qui sillonnait, a estimé que c’était de la fraude et cela a eu plus d’ampleur qu’il en est réellement. Cela a été circonscrit et le vote a repris », a déclaré le président de la Cei au niveau d’Abobo.
Sur les 416 votants dans ce bureau vote, 36 avaient effectivement voté à 10 heures. Donc, les 36 bulletins de vote ont été réintroduits dans l’urne en présence des représentants des candidats et le vote a repris son cours.
Il faut également noter la légèreté des représentants des candidats et des membres de la Cei. Car avant le démarrage du vote, l’urne n’était pas scellée.
« Cela est dû au fait que les agents qui ont été formés n’ont pas répondu et du coup, comme la loi le permet, nous avons pris un électeur sur le champ pour nous suppléer et qui n’a pas tous les rudiments. C’est ce qui a créé cet incident », a avoué le président de la Cei locale.
Au moment au moment où nous quittions les lieux aux environs de 13 heures, le vote avait repris. En dehors de cet impair, le vote se déroule dans la quiétude mais peu d’affluence.
Alors ensemble, ils ont décidé d’ouvrir l’urne afin de permettre à la présidente d’apposer sa signature. Au même moment un superviseur de l’un des candidats de passage dans ce bureau de vote tombe sur la scène et a estimé que c’était de la fraude. Ce qui naturellement a entraîné l’arrêt du vote.
Il a fallu l’intervention du président de la Commission électorale locale d’Abobo, Coulibaly Souleymane, pour remettre les choses en ordre.
« Le problème est que les agents en accord avec les représentants des candidats ont bien voulu apposer des insignes de sécurisation de leurs bulletins de vote au verseau et cela, la loi le permet », a expliqué Coulibaly Souleymane, rappelant que cela n’a pas été fait au départ et ils ont bien voulu le rattraper de façon consensuelle.
« C’est sur cet accord-là qu’ils ont ouvert l’urne. Un superviseur d’un candidat qui sillonnait, a estimé que c’était de la fraude et cela a eu plus d’ampleur qu’il en est réellement. Cela a été circonscrit et le vote a repris », a déclaré le président de la Cei au niveau d’Abobo.
Sur les 416 votants dans ce bureau vote, 36 avaient effectivement voté à 10 heures. Donc, les 36 bulletins de vote ont été réintroduits dans l’urne en présence des représentants des candidats et le vote a repris son cours.
Il faut également noter la légèreté des représentants des candidats et des membres de la Cei. Car avant le démarrage du vote, l’urne n’était pas scellée.
« Cela est dû au fait que les agents qui ont été formés n’ont pas répondu et du coup, comme la loi le permet, nous avons pris un électeur sur le champ pour nous suppléer et qui n’a pas tous les rudiments. C’est ce qui a créé cet incident », a avoué le président de la Cei locale.
Au moment au moment où nous quittions les lieux aux environs de 13 heures, le vote avait repris. En dehors de cet impair, le vote se déroule dans la quiétude mais peu d’affluence.