Adzopé: Les capacités d’Ananguié bientôt renforcées avec deux forages
Autrefois alimentée en eau potable à partir de son voisin Ahouabo, la localité d’Ananguié dans la sous-préfecture d’Adzopé sera dotée de deux forages, pour la rendre autonome et renforcer, par la même occasion, les capacités des deux villages.
Le lancement des travaux de construction des ouvrages a été fait par le député d’Adzopé sous-préfecture, Assikoi et Annépé, Abel Botchi, le 31 août, à la place publique d’Ananguié, en présence des cadres, des populations et des chefs coutumiers.
Selon Boua Djéré, ingénieur des travaux publics, chargé de projet à l’Office national de l’eau potable (Onep), le château d’eau d’Ahouabo qui a depuis longtemps desservi les deux localités a une capacité inférieure aux attentes des populations.
En effet, « le château ne produit que 180 m3 d’eau par jour pour un besoin quotidien estimé à 460 m3 ».
Face à cette réalité, il était nécessaire d’intervenir, précise l’ingénieur, à trois niveaux pour combler le déficit de 280 m3/j. Ainsi donc, après le renforcement de l’approvisionnement de la zone, la réalisation des forages et le raffinement, le traitement puis l’extension du réseau, la production journalière passera à 840 m3 par jour. Un volume largement au-dessus des 460m3 nécessaires pour couvrir les besoins quotidiens, soutient-il.
Pour un coût total de 354 millions de FCfa, ce projet cher aux populations qui ont massivement effectuées le déplacement sur le lieu de lancement des travaux, a été possible grâce au président du Conseil régional, le Premier ministre, Patrick Achi, précise Abel Botchi, son représentant.
C’est une façon, dit-il, pour le chef du gouvernement de satisfaire une promesse faite aux populations, il y a quelques mois.
Selon Boua Djéré, ingénieur des travaux publics, chargé de projet à l’Office national de l’eau potable (Onep), le château d’eau d’Ahouabo qui a depuis longtemps desservi les deux localités a une capacité inférieure aux attentes des populations.
En effet, « le château ne produit que 180 m3 d’eau par jour pour un besoin quotidien estimé à 460 m3 ».
Face à cette réalité, il était nécessaire d’intervenir, précise l’ingénieur, à trois niveaux pour combler le déficit de 280 m3/j. Ainsi donc, après le renforcement de l’approvisionnement de la zone, la réalisation des forages et le raffinement, le traitement puis l’extension du réseau, la production journalière passera à 840 m3 par jour. Un volume largement au-dessus des 460m3 nécessaires pour couvrir les besoins quotidiens, soutient-il.
Pour un coût total de 354 millions de FCfa, ce projet cher aux populations qui ont massivement effectuées le déplacement sur le lieu de lancement des travaux, a été possible grâce au président du Conseil régional, le Premier ministre, Patrick Achi, précise Abel Botchi, son représentant.
C’est une façon, dit-il, pour le chef du gouvernement de satisfaire une promesse faite aux populations, il y a quelques mois.