Bingerville et ses embouteillages : Dur, dur de traverser la ville les week-ends
Du coup, le trajet de 3km parcouru habituellement en 1 minute, l’usager peut y passer pratiquement plus d’une demi-heure.

Dans ce désordre installé, se mêlent klaxons et vrombissements de moteurs. Difficile souvent pour les piétons de se frayer un chemin. Sans oublier les motocyclistes.
Bienvenue aux cris de colère, aux cris de « Laisse-moi passer. J’ai la priorité. Non. Toi, recule. Regardez-moi ce type-là. C'est quelle manière de prendre le sens inverse ».
Pour la cause de cette affluence les weekends, à en croire l’entrepreneur, Koffi Narcisse, il s’agit des personnes qui possèdent des réalisations dans la commune. « Toutes ces grosses cylindrés que vous voyez les week-ends appartiennent à ces personnes qui possèdent des biens dans la cité. Certains sont des opérations immobilières des chantiers. D’autres, viennent controler certaines de leurs affaires. Et, y en a ceux qui viennent dans leurs villages rendre visite à la famille », a-t-il expliqué.