Centres de service et de formation agricole: L’agro-industrie prend toute sa place dans l’économie ivoirienne
Les Centres de Services et de Formation Agricoles (Astc) se positionnent comme un catalyseur du renouveau agricole en Côte d'Ivoire
En Côte d’Ivoire, cacao, noix de cajou, café, huile de palme, mangues et caoutchouc font de l'agriculture l'épine dorsale de l'économie nationale, contribuant ainsi à hauteur de 21,2 % au Pib et à 47 % des exportations totales du pays.
Pour renforcer la dynamique du secteur agricole, l’Ong internationale, Green 2000, a initié le projet des Astc ou Centres de Formation et de Services Agricoles (Agricultural Service Training Center). Situés à Guitry, Zikisso, Guiembe et Kong, ces centres couvrent une superficie totale de 50 hectares et incarnent une approche résolument novatrice.
« L'initiative Astc se présente comme un catalyseur du développement économique et communautaire, favorisant un financement durable et la formation d'experts. La vision du projet s'étend à la promotion de la croissance locale à long terme, à l'amélioration de la sécurité alimentaire et au renforcement de l'indépendance. Ses résultats, destinés à perdurer, sont à même de forger des projets durables, tout en encourageant les collaborations dans le ravitaillement des rayons des magasins de détail en produits locaux frais, contribuant ainsi à renforcer les communautés locales », a expliqué Pieter Durandt, directeur national et chef de projet, qui était face à la presse le week-end dernier à Abidjan.
Selon lui, ces centres se positionnent comme un renouveau agricole en Côte d’Ivoire où l'agriculture représente l'avenir et le gagne-pain de deux tiers de la population, mobilisant 46 % de la main-d'œuvre nationale, et ce, grâce à des atouts naturels indéniables tels que des sols fertiles, des ressources hydriques abondantes et un climat favorable.
« Face aux multiples défis qui se dressent sur leur chemin, les agriculteurs trouvent une nouvelle autonomie grâce à l'accès à des machines modernes et à des connaissances transformatrices. L'effet d'entraînement provoqué par les Astc se répercute profondément dans la création d'opportunités, stimulant ainsi la croissance au cœur des communautés. Les agriculteurs se transforment ainsi en véritables moteurs économiques, alimentant l'employabilité dans leurs régions respectives », a-t-il ajouté avant d’exprimer toute sa conviction que les Astc dans le secteur agricole ivoirien ouvriront la voie à des avancées révolutionnaires en favorisant l'expansion et le triomphe des entreprises agricoles du pays.
« C'est une source d'inspiration de voir les agriculteurs locaux s'approprier notre expertise, stimuler les opportunités d'emploi au sein de leurs communautés et encourager les jeunes générations à envisager l'agriculture comme une carrière prometteuse », a-t-il conclu.
« L'initiative Astc se présente comme un catalyseur du développement économique et communautaire, favorisant un financement durable et la formation d'experts. La vision du projet s'étend à la promotion de la croissance locale à long terme, à l'amélioration de la sécurité alimentaire et au renforcement de l'indépendance. Ses résultats, destinés à perdurer, sont à même de forger des projets durables, tout en encourageant les collaborations dans le ravitaillement des rayons des magasins de détail en produits locaux frais, contribuant ainsi à renforcer les communautés locales », a expliqué Pieter Durandt, directeur national et chef de projet, qui était face à la presse le week-end dernier à Abidjan.
Selon lui, ces centres se positionnent comme un renouveau agricole en Côte d’Ivoire où l'agriculture représente l'avenir et le gagne-pain de deux tiers de la population, mobilisant 46 % de la main-d'œuvre nationale, et ce, grâce à des atouts naturels indéniables tels que des sols fertiles, des ressources hydriques abondantes et un climat favorable.
« Face aux multiples défis qui se dressent sur leur chemin, les agriculteurs trouvent une nouvelle autonomie grâce à l'accès à des machines modernes et à des connaissances transformatrices. L'effet d'entraînement provoqué par les Astc se répercute profondément dans la création d'opportunités, stimulant ainsi la croissance au cœur des communautés. Les agriculteurs se transforment ainsi en véritables moteurs économiques, alimentant l'employabilité dans leurs régions respectives », a-t-il ajouté avant d’exprimer toute sa conviction que les Astc dans le secteur agricole ivoirien ouvriront la voie à des avancées révolutionnaires en favorisant l'expansion et le triomphe des entreprises agricoles du pays.
« C'est une source d'inspiration de voir les agriculteurs locaux s'approprier notre expertise, stimuler les opportunités d'emploi au sein de leurs communautés et encourager les jeunes générations à envisager l'agriculture comme une carrière prometteuse », a-t-il conclu.