Obsèques de Kangah Anzian Serges Anderson : Un "fou" de Dieu s’en est allé les armes à la main
La dépouille de Kangah Anzian Serges Anderson, correcteur de presse à Fraternité Matin, repose depuis le samedi 9 septembre 2023, au cimetière d’Abobo-Baoulé.
Ce soldat "fou" de Dieu a rejoint son maître, les armes à la main. Comme l’a si bien dit Ange Melagne, vice-présidente de la Fraternité Saint-François de Sales dont il était le président lors de la veillée de louange animée par le Renouveau charismatique catholique de la paroisse Saint-Jean de Cocody, le vendredi 8 septembre, au rond-point Feh Kessé.
Ses armes, ce sont le sourire, la paix intérieure, la foi et l’espérance, malgré le mal qui le rongeait.
Ce qui a fait dire à la vice-présidente, dans l’hommage plein d’émotion qu’elle lui a rendu au nom de ses pairs : « Face à l’épreuve, tu n’as pas baissé les bras. Non, tu n’as pas déposé les armes. Attaché à ton Dieu, tu es monté vers lui paré des armes de l’Esprit-Saint. "Fou" de Dieu, tu avais cette soif ardente de Jésus-Christ que tu souhaitais nous transmettre, coûte que coûte. Rien ne t’arrête Anzian, absolument rien ».
Un saint...
La preuve, il avait donné des consignes pour une retraite ouverte que La fraternité devait faire au sanctuaire marial national, en son absence. Chose qui n’a malheureusement pas pu être faite parce qu’il n’était pas là pour mettre la pression...
Selon le témoignage du père Kodjovi, aumônier de La fraternité, lors d’une messe pour le repos de son âme à Fraternité Matin, Kangah Anzian était un saint. Car malgré son mal, il faisait l’œuvre de Dieu avec la passion et la détermination d’un bien-portant, qui avait très peu de temps, et qui devait tout faire pour l’achever.
S’adressant à la famille éplorée lors de la messe de requiem, le samedi 9 septembre 2023, le curé de la paroisse Notre Dame de l’Annonciation d'Oribat, son quartier, a cependant reconnu que perdre un époux, un père est un drame familial difficile à supporter, comme assister impuissant à la destruction du rempart protecteur de la famille.
Aussi a-t-il dit à Jeanne Carine, la veuve, aux enfants et aux proches de Kangah : « Soyez forts, l’espérance ne déçoit pas. Que la présence de tant d’amis, de parents et de paroissiens soit pour vous un réconfort et une consolation ».
La levée du corps avant la messe a été faite par le père David, responsable de la communauté des Béatitudes à Abidjan, qui avait obtenu une prise en charge de la Présidence pour les soins du défunt à la Pisam.
Ses frères de cette communauté dont il était membre engagé, et les membres de la communion Marie reine de la paix, ont fait une prière autour de son cercueil avant la dernière prière, et l’inhumation au cimetière d’Abobo-Baoulé.
Ses armes, ce sont le sourire, la paix intérieure, la foi et l’espérance, malgré le mal qui le rongeait.
Ce qui a fait dire à la vice-présidente, dans l’hommage plein d’émotion qu’elle lui a rendu au nom de ses pairs : « Face à l’épreuve, tu n’as pas baissé les bras. Non, tu n’as pas déposé les armes. Attaché à ton Dieu, tu es monté vers lui paré des armes de l’Esprit-Saint. "Fou" de Dieu, tu avais cette soif ardente de Jésus-Christ que tu souhaitais nous transmettre, coûte que coûte. Rien ne t’arrête Anzian, absolument rien ».
Un saint...
La preuve, il avait donné des consignes pour une retraite ouverte que La fraternité devait faire au sanctuaire marial national, en son absence. Chose qui n’a malheureusement pas pu être faite parce qu’il n’était pas là pour mettre la pression...
Selon le témoignage du père Kodjovi, aumônier de La fraternité, lors d’une messe pour le repos de son âme à Fraternité Matin, Kangah Anzian était un saint. Car malgré son mal, il faisait l’œuvre de Dieu avec la passion et la détermination d’un bien-portant, qui avait très peu de temps, et qui devait tout faire pour l’achever.
S’adressant à la famille éplorée lors de la messe de requiem, le samedi 9 septembre 2023, le curé de la paroisse Notre Dame de l’Annonciation d'Oribat, son quartier, a cependant reconnu que perdre un époux, un père est un drame familial difficile à supporter, comme assister impuissant à la destruction du rempart protecteur de la famille.
Aussi a-t-il dit à Jeanne Carine, la veuve, aux enfants et aux proches de Kangah : « Soyez forts, l’espérance ne déçoit pas. Que la présence de tant d’amis, de parents et de paroissiens soit pour vous un réconfort et une consolation ».
La levée du corps avant la messe a été faite par le père David, responsable de la communauté des Béatitudes à Abidjan, qui avait obtenu une prise en charge de la Présidence pour les soins du défunt à la Pisam.
Ses frères de cette communauté dont il était membre engagé, et les membres de la communion Marie reine de la paix, ont fait une prière autour de son cercueil avant la dernière prière, et l’inhumation au cimetière d’Abobo-Baoulé.