Sécurité routière, Vih/Sida, Vbg : Des chefs de communautés et ouvriers de la société Chec sensibilisés

Le personnel et les ouvriers sensibilisés (Photo Bavane)
Le personnel et les ouvriers sensibilisés (Photo Bavane)
Le personnel et les ouvriers sensibilisés (Photo Bavane)

Sécurité routière, Vih/Sida, Vbg : Des chefs de communautés et ouvriers de la société Chec sensibilisés

Le 17/09/23 à 12:15
modifié 17/09/23 à 14:44
l’Ong Interafricaine pour la promotion de la santé et des droits humains (Ipsdh) était le samedi 16 septembre 2023, sur le site de China Harbour engineering company (Chec), la société chargée de l’aménagement du carrefour Akwaba dans la commune de Port-Bouët. Pour une campagne de sensibilisation portant sur la sécurité routière, le viol et le Vbg.

Cette campagne de sensibilisation qui est la énième de ce genre sur ce site, s’inscrit dans le cadre de la mise en œuvre des campagnes relatives au Plan de gestion environnemental et social (Pges) sur le chantier d’aménagement du carrefour Akwaba exécuté par Chec.

L’auditoire ce jour (samedi 16 septembre Ndlr), était composé d’ouvriers, personnel de Chec, des chefs de communautés de Port-Bouët et des partenaires au projet, notamment l’Ageroute.

Les messages qui leur ont été adressés ont porté sur la sécurité routière, la prévention contre la covid19, le Vih Sida, et la lutte contre les violences basées sur le genre.

Une campagne à utilité publique (Photo Bavane)
Une campagne à utilité publique (Photo Bavane)



Irié Raphael, responsable du pôle sensibilisation à l’Office de sécurité routière (Oser), a entretenu l’auditoire sur l’intérêt qu’il y a de respecter la signalisation sur les routes et en particulier sur les chantiers routiers. Surtout, le respect du nouveau plan de déviation du carrefour Akwaba. Il a aussi insisté sur le respect des panneaux de signalisation.

Koffi Socrate du ministère de la femme, spécialiste des questions des violences basées sur le genre, a instruit les ouvriers sur les dangers que courent les personnes qui s’adonnent à cette pratique. Il a expliqué les actes de violence dirigés contre les femmes en tant que telles et leur causant ou pouvant leur causer un préjudice ou des souffrances physiques, sexuelles ou psychologiques. Ajoutant la menace de tels actes, la contrainte ou la privation arbitraire de liberté. Sans omettre les sanctions qu’encourent les violeurs.

Pour Josiane Koudou, présidente de l’Ipsdh, cette campagne répond à un besoin. Celui de sensibiliser aussi bien les travailleurs que les populations de Port-Bouët à travers leurs chefs de communautés. Leur rappeler la nécessité de respecter le nouveau plan de circulation du carrefour Akwaba, rester loin de la violence basée sur le genre, les ist, vih/sida.



Le 17/09/23 à 12:15
modifié 17/09/23 à 14:44