Conférenciers, représentants du ministère des Sports et du Comité national olympique ont aimé cette initiative des responsables du Cscticao. (Ph: Dr)
Conférenciers, représentants du ministère des Sports et du Comité national olympique ont aimé cette initiative des responsables du Cscticao. (Ph: Dr)
Omnisports : Médecins du sport et kiné "se vendent" aux associations sportives
Le Centre ivoiro-coréen (Cscticao) situé dans le versant du lycée technique de Cocody est en train de jouer pleinement son rôle. Le 15 septembre 2023, il a organisé une conférence sur la médecine du sport.
La rencontre qui entre dans le cadre des activités de ce centre offert à la Côte d'Ivoire par la République de Corée a vu la participation de plusieurs acteurs du sport national (athlètes, dirigeants sportifs, entraîneurs, etc.).
A travers le thème « Médecine du sport, médecine de l’homme sain en mouvement », les docteurs Jean-Serge Koffi, président intérimaire du comité national anti-dopage et membre du comité exécutif de l’Union africaine de médecine du sport, Brou Kouassi, médecin du sport, kinésithérapeute et le masseur kinésithérapeute, Arsène Angaman, bien connu dans le milieu, ont rappelé aux uns et aux autres l’impérieuse nécessité d’inclure la médecine à leurs habitudes.
« Depuis 2014, il y a une loi qui régit la pratique du sport en Côte d’Ivoire. Cela veut dire qu’il y a des contraintes, et souvent des conséquences médico-légales. C’est pourquoi nous invitons les responsables de fédérations sportives, clubs et autres maîtres de salle, à tenir compte de cet aspect », a indiqué Dr Serge Koffi.
Il a invité les dirigeants sportifs à lire la loi, surtout en ce qui concerne les articles liés à l’exercice du sport, de la médecine du sport et la relation entre le médecin et le sportif.
A en croire les conférenciers, le médecin du sport accompagne les sportifs. C’est lui qui évalue les éléments de l’aptitude physique spécifique à chaque discipline sportive, etc. Contrairement à des idées reçues, la médecine du sport n’est pas réservée aux pratiquants.
En Côte d’Ivoire, il existe une association de médecins du sport et en son sein se trouvent des kinésithérapeutes assermentés.
En effet, selon Arsène Angaman, le médecin du sport et le kinésithérapeute collaborent étroitement afin de permettre aux sportifs blessés de reprendre le plus vite possible leurs entraînements et compétitions. Car la plupart des lésions des sportifs, et en particulier les lésions de surcharge, sont non chirurgicales.
Une rencontre que les participants ont trouvée très enrichissante. « Les dirigeants sportifs et maîtres de salle que nous sommes avons besoin de formation de ce type pour mieux gérer nos athlètes et nos compétitions. Merci aux responsables du Csctico pour cette opportunité. On espère qu’il y en aura d’autres », souhaite Adama Coulibaly, maître d’arts martiaux.
Depuis l’ouverture du centre, il y a un peu plus d’un an, le directeur général, Angelot Kognot et ses collaborateurs organisent régulièrement des activités sportives et des sessions de formation à l’intention des acteurs sportifs.
A travers le thème « Médecine du sport, médecine de l’homme sain en mouvement », les docteurs Jean-Serge Koffi, président intérimaire du comité national anti-dopage et membre du comité exécutif de l’Union africaine de médecine du sport, Brou Kouassi, médecin du sport, kinésithérapeute et le masseur kinésithérapeute, Arsène Angaman, bien connu dans le milieu, ont rappelé aux uns et aux autres l’impérieuse nécessité d’inclure la médecine à leurs habitudes.
« Depuis 2014, il y a une loi qui régit la pratique du sport en Côte d’Ivoire. Cela veut dire qu’il y a des contraintes, et souvent des conséquences médico-légales. C’est pourquoi nous invitons les responsables de fédérations sportives, clubs et autres maîtres de salle, à tenir compte de cet aspect », a indiqué Dr Serge Koffi.
Il a invité les dirigeants sportifs à lire la loi, surtout en ce qui concerne les articles liés à l’exercice du sport, de la médecine du sport et la relation entre le médecin et le sportif.
A en croire les conférenciers, le médecin du sport accompagne les sportifs. C’est lui qui évalue les éléments de l’aptitude physique spécifique à chaque discipline sportive, etc. Contrairement à des idées reçues, la médecine du sport n’est pas réservée aux pratiquants.
En Côte d’Ivoire, il existe une association de médecins du sport et en son sein se trouvent des kinésithérapeutes assermentés.
En effet, selon Arsène Angaman, le médecin du sport et le kinésithérapeute collaborent étroitement afin de permettre aux sportifs blessés de reprendre le plus vite possible leurs entraînements et compétitions. Car la plupart des lésions des sportifs, et en particulier les lésions de surcharge, sont non chirurgicales.
Une rencontre que les participants ont trouvée très enrichissante. « Les dirigeants sportifs et maîtres de salle que nous sommes avons besoin de formation de ce type pour mieux gérer nos athlètes et nos compétitions. Merci aux responsables du Csctico pour cette opportunité. On espère qu’il y en aura d’autres », souhaite Adama Coulibaly, maître d’arts martiaux.
Depuis l’ouverture du centre, il y a un peu plus d’un an, le directeur général, Angelot Kognot et ses collaborateurs organisent régulièrement des activités sportives et des sessions de formation à l’intention des acteurs sportifs.