Daloa/Insécurité : Le Correspondant de Fraternité Matin agressé
La nuit du dimanche 29 septembre 2023 a été très mauvaise pour M. Gooré-Bi Tra Valéri alias Saint-Tra Bi, Correspondant de Fraternité Matin pour l'ouest du pays.
Des faits rapportés par notre confrère que nous avons joint par téléphone toujours en état de choc, il ressort que le Correspondant régional s'est rendu à Daloa, dans le village de Tchebloguhé, sur l'axe Daloa-Issia, pour une visite à sa famille qu'il a retrouvée aux environs de 20h.
Les retrouvailles entre membres de la famille Saint-Tra Bi furent très chaleureuses. La rencontre se passait très bien jusqu'à ce que la maisonnée se mette au lit aux environs de 23h. Cependant, contre toute attente, vers de 2 heures du matin, le sommeil de la famille est interrompu par la visite de braqueurs.
Les quidams, armes à la main, neutralisent le chef de famille et lui intiment l'ordre de leur remettre tous ses biens.
La peur au ventre, notre confrère s'exécute en leur remettant la somme d'argent destinée aux frais de scolarité de ses enfants, ainsi que son téléphone portable et celui de sa compagne. Après leur forfait, les malfrats ont pris la clé des champs.
Notons que les agressions sont récurrentes dans le village de Tchebloguhé et cette situation constitue un frein à son développement.
L'an dernier, cinq (5) instituteurs et une sage-femme en service dans ledit village ont été victimes de vols et pillages.
Saint-Tra Bi a regagné le district des Montagnes après avoir porté plainte.
V. Kouakou
Les retrouvailles entre membres de la famille Saint-Tra Bi furent très chaleureuses. La rencontre se passait très bien jusqu'à ce que la maisonnée se mette au lit aux environs de 23h. Cependant, contre toute attente, vers de 2 heures du matin, le sommeil de la famille est interrompu par la visite de braqueurs.
Les quidams, armes à la main, neutralisent le chef de famille et lui intiment l'ordre de leur remettre tous ses biens.
La peur au ventre, notre confrère s'exécute en leur remettant la somme d'argent destinée aux frais de scolarité de ses enfants, ainsi que son téléphone portable et celui de sa compagne. Après leur forfait, les malfrats ont pris la clé des champs.
Notons que les agressions sont récurrentes dans le village de Tchebloguhé et cette situation constitue un frein à son développement.
L'an dernier, cinq (5) instituteurs et une sage-femme en service dans ledit village ont été victimes de vols et pillages.
Saint-Tra Bi a regagné le district des Montagnes après avoir porté plainte.
V. Kouakou