FMI : Kristalina Georgieva appelle à plus de rigueur dans l’utilisation des ressources allouées à l'Afrique
La directrice générale du Fonds monétaire international, Kristalina Gileorgieva, a fait noter le 5 octobre 2023 au Sofitel Abidjan Hôtel Ivoire, trois points que son institution met désormais au cœur de son action pour un usage efficient de ses ressources qui s’amenuisent de plus en plus.
C’était à l’occasion de l’ouverture officielle des Assemblées annuelles du Fmi et du Groupe de la Banque mondiale qui se tiennent à Marrakech au Maroc du 9 au 15 octobre 2923.
Kristalina Georgieva a indiqué que le temps où le FMI disposait de l’essentiel des ressources financières extérieures est loin derrière nous.
Relativement au premier des trois axes des actions futures, Kristalina Georgieva appelle à plus de rigueur dans la gestion financière, parce que la raréfaction des ressources et la lourdeur de la dette et du service qui l’accompagne sont des risques à prendre en compte. Ce, en soulignant que les différents facteurs socio-politiques, économiques et climatiques depuis 2020 ont déjà provoqué en 2023, des pertes de ressources évaluées à 3700 milliards de dollars.
Dans le deuxième point, la directrice générale du Fmi a insisté notamment sur les infrastructures, l’Etat de droit, le développement du numérique, l’emploi des jeunes et de la bonne gouvernance qui pourrait faire gagner 8 points de croissance et 10 en termes de revenus par tête selon les experts.
Relativement au renforcement de la coopération internationale, elle s’est inquiétée de la fragmentation du monde et la limitation des opportunités d’echanges et de solidarité qui en découlent.
Elle a aussi conseillé aux Africains d’agir sur les faccteurs endogènes qui peuvent aider au développement. Christalina Georgieva a appelé à agir sur le commerce intra-africain notamment la mise en route de la Zone de libre-échange continentale africaine (Zlecaf). Elle pense que cela devrait fortement amoindrir l’impact des chocs externes.
Kristalina Georgieva a indiqué que le temps où le FMI disposait de l’essentiel des ressources financières extérieures est loin derrière nous.
Relativement au premier des trois axes des actions futures, Kristalina Georgieva appelle à plus de rigueur dans la gestion financière, parce que la raréfaction des ressources et la lourdeur de la dette et du service qui l’accompagne sont des risques à prendre en compte. Ce, en soulignant que les différents facteurs socio-politiques, économiques et climatiques depuis 2020 ont déjà provoqué en 2023, des pertes de ressources évaluées à 3700 milliards de dollars.
Dans le deuxième point, la directrice générale du Fmi a insisté notamment sur les infrastructures, l’Etat de droit, le développement du numérique, l’emploi des jeunes et de la bonne gouvernance qui pourrait faire gagner 8 points de croissance et 10 en termes de revenus par tête selon les experts.
Relativement au renforcement de la coopération internationale, elle s’est inquiétée de la fragmentation du monde et la limitation des opportunités d’echanges et de solidarité qui en découlent.
Elle a aussi conseillé aux Africains d’agir sur les faccteurs endogènes qui peuvent aider au développement. Christalina Georgieva a appelé à agir sur le commerce intra-africain notamment la mise en route de la Zone de libre-échange continentale africaine (Zlecaf). Elle pense que cela devrait fortement amoindrir l’impact des chocs externes.