Protection de l'environnement: Le gouvernement expose ses stratégies pour une agriculture durable
La journée du vendredi 6 octobre 2023 au Salon international de l’agriculture et des ressources animales (Sara), à Abidjan, était dédiée à l’environnement. Ouvrant les activités de l’évènement, le ministre de l’Environnement et du Développement durable, Jean-Luc Assi, en a profité pour exposer la politique que le gouvernement met en oeuvre pour l’implémentation de l’agriculture durable.
Pour le ministre, la souveraineté alimentaire dépasse le simple acte de produire des denrées alimentaires. A l’en croire, elle englobe la garantie que des citoyens ont accès à une alimentation adéquate et nutritive, produite localement et dans le respect de la question de l’environnement.
« Cela nécessite une approche holistique qui intègre l’agriculture durable, la préservation des ressources naturelles et la résilience face aux perturbations. Dans cette quête, les pratiques agricoles respectueuses de l’environnement et la promotion de l’agroécologie jouent un rôle vital pour maintenir la fertilité des sols, préserver la biodiversité et réduire l’utilisation de pesticides et d’engrais synthétiques », a expliqué Jean-Luc Assi. Il développait ainsi le thème : « L’Agriculture africaine face aux défis des chocs internes et externes : quelles innovations structurelles pour améliorer les secteurs agricoles et garantir la souveraineté alimentaire ».
En ce qui concerne la résilience au niveau de l’agriculture, il a fait savoir qu’elle est la pierre angulaire de la capacité à répondre et à s’adapter aux chocs, qu’ils soient anticipés ou non. L’adoption de méthodes agricoles résilientes, comme la diversification des cultures, la gestion efficace de l’eau et l’utilisation de semences adaptées au climat sont des éléments clés pour garantir que les systèmes agricoles en Côte d’Ivoire restent robustes et capables de faire face aux perturbations inévitables.
Pralant de la protection de l'environnement, le ministre a préconisé qu’il faut inclure la jeunesse. D’ailleurs, dit-il, le lien entre l’agriculture, la jeunesse et l’environnement est indéniable. « Nos jeunes sont porteurs de perspectives neuves, d’innovations audacieuses et d’une détermination inébranlable à surmonter les défis auxquels nous faisons face. Ils sont le cœur vibrant de la transition vers des systèmes agricoles durables et des pratiques respectueuses de l’environnement », mentionne-t-il.
La journée a été marquée par la tenue deux panels. L’un de ces panels était organisé autour du thème « Le nouveau code l’environnement et l’agriculture durable : Vers une coexistence harmonieuse ». Etait également présent aux côtés de son collégue de l'Environnement, le ministre des Ressources animales et Halieutiques.
« Cela nécessite une approche holistique qui intègre l’agriculture durable, la préservation des ressources naturelles et la résilience face aux perturbations. Dans cette quête, les pratiques agricoles respectueuses de l’environnement et la promotion de l’agroécologie jouent un rôle vital pour maintenir la fertilité des sols, préserver la biodiversité et réduire l’utilisation de pesticides et d’engrais synthétiques », a expliqué Jean-Luc Assi. Il développait ainsi le thème : « L’Agriculture africaine face aux défis des chocs internes et externes : quelles innovations structurelles pour améliorer les secteurs agricoles et garantir la souveraineté alimentaire ».
En ce qui concerne la résilience au niveau de l’agriculture, il a fait savoir qu’elle est la pierre angulaire de la capacité à répondre et à s’adapter aux chocs, qu’ils soient anticipés ou non. L’adoption de méthodes agricoles résilientes, comme la diversification des cultures, la gestion efficace de l’eau et l’utilisation de semences adaptées au climat sont des éléments clés pour garantir que les systèmes agricoles en Côte d’Ivoire restent robustes et capables de faire face aux perturbations inévitables.
Pralant de la protection de l'environnement, le ministre a préconisé qu’il faut inclure la jeunesse. D’ailleurs, dit-il, le lien entre l’agriculture, la jeunesse et l’environnement est indéniable. « Nos jeunes sont porteurs de perspectives neuves, d’innovations audacieuses et d’une détermination inébranlable à surmonter les défis auxquels nous faisons face. Ils sont le cœur vibrant de la transition vers des systèmes agricoles durables et des pratiques respectueuses de l’environnement », mentionne-t-il.
La journée a été marquée par la tenue deux panels. L’un de ces panels était organisé autour du thème « Le nouveau code l’environnement et l’agriculture durable : Vers une coexistence harmonieuse ». Etait également présent aux côtés de son collégue de l'Environnement, le ministre des Ressources animales et Halieutiques.