Bouaké: L'impact des réseaux sociaux sur les sociétés africaines au cœur d’un colloque international
La dynamique des réseaux sociaux et leurs impacts sur les sociétés africaines font l’objet d’un colloque international pluridisciplinaire, du 5 au 7 octobre, au campus 2 de l’université Alassane Ouattara de Bouaké.
Selon Grégoire Traoré, chef du département de philosophie de cette université, les réseaux sociaux sont utilisés par 46 % des populations en Afrique.
Les Africains ne sont pas de simples récepteurs passifs de cette technologie de communication. Ces réseaux sont, à la fois, une source d’émerveillement et d’inquiétude suscitant des réflexions sur leurs réels enjeux et le sens qu’ils impriment à la dynamique des sociétés africaines.
Parmi les participants, Boa Thiémélé Ramsès, enseignant de philosophie à l’Université Félix Houphouët-Boigny de Cocody, a été sollicité pour intervenir sur comment philosopher autrement à partir de Facebook.
Il entend à partir de son expérience professionnelle faire la démonstration de l’utilisation positive des réseaux sociaux. « Nous sommes à l’ère de l’informatique et du numérique, l’Afrique ne peut se payer le luxe d’être hors de cette révolution scientifique, intellectuelle et informationnelle », a-t-il soutenu.
À l’ouverture de ce colloque, Assouman Bamba, doyen de l’Ufr communication, milieu et société, a apprécié le fait que les philosophes africains aient décidé de se pencher sur les réseaux sociaux pour repenser les sociétés africaines. Cela, afin de pouvoir prendre toutes les dispositions techniques et scientifiques pour ne pas se noyer dans l’océan du numérique.
Les Africains ne sont pas de simples récepteurs passifs de cette technologie de communication. Ces réseaux sont, à la fois, une source d’émerveillement et d’inquiétude suscitant des réflexions sur leurs réels enjeux et le sens qu’ils impriment à la dynamique des sociétés africaines.
Parmi les participants, Boa Thiémélé Ramsès, enseignant de philosophie à l’Université Félix Houphouët-Boigny de Cocody, a été sollicité pour intervenir sur comment philosopher autrement à partir de Facebook.
Il entend à partir de son expérience professionnelle faire la démonstration de l’utilisation positive des réseaux sociaux. « Nous sommes à l’ère de l’informatique et du numérique, l’Afrique ne peut se payer le luxe d’être hors de cette révolution scientifique, intellectuelle et informationnelle », a-t-il soutenu.
À l’ouverture de ce colloque, Assouman Bamba, doyen de l’Ufr communication, milieu et société, a apprécié le fait que les philosophes africains aient décidé de se pencher sur les réseaux sociaux pour repenser les sociétés africaines. Cela, afin de pouvoir prendre toutes les dispositions techniques et scientifiques pour ne pas se noyer dans l’océan du numérique.
CORRESPONDANT RÉGIONAL