Bingerville : Caniveaux bouchés, ruissellement d’eaux usées, embouteillages, difficile pour les habitants, après la pluie
Après la pluie qui est tombée sur le district d’Abidjan dans la nuit du mardi 10 au mercredi 11 octobre 2023, les habitants de Bingerville se sont réveillés avec un chapelet de difficultés. Notamment des caniveaux bouchés de déchets ménagers et plastiques, des ruissellements d’eaux usées ajoutés à ceux-ci des embouteillages à presque tous les bouts de la voie express.
Il est 7h 12, ce mercredi 11 octobre 2023, quand monsieur Jb quittait son domicile à bord de son véhicule pour Adjamé où il est arrivé à 9 h 47 mn. C’est-à-dire pratiquement 2 h 35 mn pour parcourir 18 km.
« Un véritable calvaire que je vis presque tous les jours. Surtout après une pluie. Ce matin, de mon habitation à la voie principale, les ordures ménagères qui jonchent nos rues de quartiers après une pluie, ne m’ont pas laissé le choix de passer 15 mn pour parcourir juste 700 mètres. Tellement nos rues sont impraticables », a-t-il expliqué.
Poursuivant, il a développé que de la nouvelle gare au carrefour Sicogi 2 (700 mètres), les caniveaux sont bouchés d’ordures ménagères et plastiques à tel point que les eaux usées débordent et envahissent la voie. Provoquant ainsi des ralentissements.
Aussi, a-t-il expliqué, après le feu d’Abatta, direction Faya, à 50 mètres des feux tricolores, c’est une eau boueuse qui occupe la moitié de la voie avec le stationnement des gbakas à ce niveau.
Même scène vécue par Dame Kouakou Nathalie. « De Feh Kessé à Cocody où je travaille, c’est 1h 30 mn de temps que je passe sur la voie. Après la pluie d’hier, ce matin, j’ai mis 2h 15 mn pour rallier Bingerville Feh Kessé à Cocody. Difficille ! C’est parce que je vis dans ma propre maison. Sinon, je serai partie de cette zone », a-t-elle raconté.
« Un véritable calvaire que je vis presque tous les jours. Surtout après une pluie. Ce matin, de mon habitation à la voie principale, les ordures ménagères qui jonchent nos rues de quartiers après une pluie, ne m’ont pas laissé le choix de passer 15 mn pour parcourir juste 700 mètres. Tellement nos rues sont impraticables », a-t-il expliqué.
Poursuivant, il a développé que de la nouvelle gare au carrefour Sicogi 2 (700 mètres), les caniveaux sont bouchés d’ordures ménagères et plastiques à tel point que les eaux usées débordent et envahissent la voie. Provoquant ainsi des ralentissements.
Aussi, a-t-il expliqué, après le feu d’Abatta, direction Faya, à 50 mètres des feux tricolores, c’est une eau boueuse qui occupe la moitié de la voie avec le stationnement des gbakas à ce niveau.
Même scène vécue par Dame Kouakou Nathalie. « De Feh Kessé à Cocody où je travaille, c’est 1h 30 mn de temps que je passe sur la voie. Après la pluie d’hier, ce matin, j’ai mis 2h 15 mn pour rallier Bingerville Feh Kessé à Cocody. Difficille ! C’est parce que je vis dans ma propre maison. Sinon, je serai partie de cette zone », a-t-elle raconté.