Lutte contre le changement climatique : Le décret de mise en œuvre de la transition Bas carbone validé
La Côte d'Ivoire devient un acteur clé pour la gouvernance climatique Mondiale avec la validation du projet de décret instituant du projet transition bas carbone.
Un pas décisif pour la transparence climatique. Le Conseiller technique du ministre de l’Environnement, du développement durable et de la transition écologique, Lagaud Mayeul Axel a présidé le mercredi 4 décembre 2024 à Abidjan l’atelier de validation du projet de décret pour la mise en place d'un système national de la transparence climatique dans le cadre de la mise en œuvre du projet Transition Bas Carbone (Tbc).
Ce séminaire a offert une plateforme d’échanges entre les parties prenantes pour examiner, amender et valider le projet de décret, ouvrant ainsi la voie à son adoption officielle par le gouvernement. En organisant cet atelier, la Côte d’Ivoire réaffirme son rôle de leader dans la lutte contre les changements climatiques. La création de ce système national de Transparence Climatique représente une avancée significative dans la promotion d’une gouvernance climatique exemplaire et d’une contribution active aux objectifs globaux de durabilité
Ce processus constitue donc une étape majeure pour opérationnaliser un cadre robuste de suivi, de notification et de vérification des données climatiques. Une fois adopté, ce décret renforcera également l’approche multisectorielle en intégrant les contributions des différents acteurs pour garantir une gouvernance participative et inclusive. Ce projet ambitionne notamment de mettre en place un Système National de Transparence Climatique conforme aux exigences de l’Accord de Paris.
La Côte d'Ivoire, avec les décrets n°2024-594 du 26 juin 2024, instituant la Commission Nationale de Lutte contre les Changements Climatiques, et n°2024-658 du 1er août 2024, établissant le Bureau Marché Carbone pour renforcer son cadre institutionnel climatique, a accompli des progrès notables.
Le Projet Transition Bas Carbone, financé par l’Union européenne et mis en œuvre par Expertise France, en partenariat avec le ministère de l’Environnement, du Développement Durable et de la Transition Écologique, accompagne la Côte d’Ivoire dans la mise en œuvre et le suivi de ses engagements climatiques. Ce projet ambitionne notamment de mettre en place un Système National de Transparence climatique conforme aux exigences de l’Accord de Paris.
Il faut souligner que la Côte d'Ivoire a révisé ses contributions déterminées au niveau national (Cdn) pour aboutir au rehaussement de son ambition climatique, passant de 28,25% à 30,41% de réduction de ses émissions de Gaz à Effet de Serre (Ges) d'ici 2030.
Ce processus constitue donc une étape majeure pour opérationnaliser un cadre robuste de suivi, de notification et de vérification des données climatiques. Une fois adopté, ce décret renforcera également l’approche multisectorielle en intégrant les contributions des différents acteurs pour garantir une gouvernance participative et inclusive. Ce projet ambitionne notamment de mettre en place un Système National de Transparence Climatique conforme aux exigences de l’Accord de Paris.
La Côte d'Ivoire, avec les décrets n°2024-594 du 26 juin 2024, instituant la Commission Nationale de Lutte contre les Changements Climatiques, et n°2024-658 du 1er août 2024, établissant le Bureau Marché Carbone pour renforcer son cadre institutionnel climatique, a accompli des progrès notables.
Le Projet Transition Bas Carbone, financé par l’Union européenne et mis en œuvre par Expertise France, en partenariat avec le ministère de l’Environnement, du Développement Durable et de la Transition Écologique, accompagne la Côte d’Ivoire dans la mise en œuvre et le suivi de ses engagements climatiques. Ce projet ambitionne notamment de mettre en place un Système National de Transparence climatique conforme aux exigences de l’Accord de Paris.
Il faut souligner que la Côte d'Ivoire a révisé ses contributions déterminées au niveau national (Cdn) pour aboutir au rehaussement de son ambition climatique, passant de 28,25% à 30,41% de réduction de ses émissions de Gaz à Effet de Serre (Ges) d'ici 2030.