Organisation de la Can 2023 : Deux mois pour tout boucler
S’agissant des deux derniers tests qui ont eu lieu, les 14 et 17 octobre, au stade Houphouët-Boigny, les choses se sont plutôt bien passées. Mais en même temps, cela a permis d’ouvrir les yeux sur le gros du travail qui reste à faire. Le chemin qui reste à parcourir est long. Des corrections ont commencé à être portées sur les copies des différentes commissions dès le lendemain du match contre le Maroc.
En effet, concernant le premier match de haut niveau, au stade Félix Houphouët-Boigny, la tribune réservée à la presse a très vite montré ses limites. Si rien n’est fait, elle va faire jaser pendant la Can. En plus, cette tribune mal fournie en Internet n’était pas suffisamment dotée en écrans. Sans oublier l’absence de climatisation dans la salle de conférences. Enfin, cela a été réglé lors du deuxième match. En effet, la question de la circulation également avait trouvé un début de solution lors du deuxième match contre l’Afrique du Sud. Ce sont des choses qu’il faut suivre de près. Car en deux mois ce sont des travaux qui peuvent se faire.
A propos de transport et de sécurité, il y a eu cette erreur de vouloir fermer très tôt les accès au quartier du Plateau où se trouve le stade Houphouët-Boigny. Et puis au niveau des nombreux barrages érigés, il n’y avait aucun élément du Cocan. Tout était laissé aux mains des forces de l’ordre qui procédaient aux contrôles. Bien que disposant de tickets parking, on avait du mal à trouver le bon parking. En pareille circonstance, le comité d’organisation associe des éléments qui ont reçu au préalable une formation adéquate et qui maitrisent leur sujet.
A l’intérieur du stade, on a également remarqué certains stadiers carrément assis dans la tribune de presse, à la place des hommes de médias. Alors que leur rôle est de se tenir debout, de répondre immédiatement aux sollicitations de ces derniers. Ce sont des choses à vitre corriger Tout comme ces policiers excités qui rouaient de coups un journaliste à la sortie du stade Houphouët-Boigny, après le match contre le Maroc. Ce sont des attitudes à bannir, pour un rendez-vous qui se veut une fête.
Il faut enseigner la patience aux forces de l’ordre. Car pendant la Can, qui est une compétition qui draine du monde et déchaîne des passions, on rencontre un peu de tout. Imaginons un peu, si ce journaliste était venu d’ailleurs, cela aurait créé un véritable tollé.
Cette Can en Côte d’Ivoire est un très grand défi pour la Côte d’Ivoire, mais aussi pour la Caf. Et le président, Patrice Motsepe, ne s’en cache pas. C’est sa deuxième véritable Can à la tête de la Confédération africaine de football (Caf), après celle qui a eu lieu l’année dernière au Cameroun.
paul bagnini
A propos de transport et de sécurité, il y a eu cette erreur de vouloir fermer très tôt les accès au quartier du Plateau où se trouve le stade Houphouët-Boigny. Et puis au niveau des nombreux barrages érigés, il n’y avait aucun élément du Cocan. Tout était laissé aux mains des forces de l’ordre qui procédaient aux contrôles. Bien que disposant de tickets parking, on avait du mal à trouver le bon parking. En pareille circonstance, le comité d’organisation associe des éléments qui ont reçu au préalable une formation adéquate et qui maitrisent leur sujet.
A l’intérieur du stade, on a également remarqué certains stadiers carrément assis dans la tribune de presse, à la place des hommes de médias. Alors que leur rôle est de se tenir debout, de répondre immédiatement aux sollicitations de ces derniers. Ce sont des choses à vitre corriger Tout comme ces policiers excités qui rouaient de coups un journaliste à la sortie du stade Houphouët-Boigny, après le match contre le Maroc. Ce sont des attitudes à bannir, pour un rendez-vous qui se veut une fête.
Il faut enseigner la patience aux forces de l’ordre. Car pendant la Can, qui est une compétition qui draine du monde et déchaîne des passions, on rencontre un peu de tout. Imaginons un peu, si ce journaliste était venu d’ailleurs, cela aurait créé un véritable tollé.
Cette Can en Côte d’Ivoire est un très grand défi pour la Côte d’Ivoire, mais aussi pour la Caf. Et le président, Patrice Motsepe, ne s’en cache pas. C’est sa deuxième véritable Can à la tête de la Confédération africaine de football (Caf), après celle qui a eu lieu l’année dernière au Cameroun.
paul bagnini