Centres d'excellence de l'enseignement supérieur: Les pays africains invités à partager leurs expériences
Le directeur de cabinet du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Arsène Kobéa, a clos le 3 novembre 2023, le 10e atelier régional du projet des Centres d’excellence africains pour l’impact sur le développement (Cea impact), à Abidjan.
Au terme de quatre jours de travaux, les 400 experts venus de onze pays d’Afrique ont planché à Abidjan, à l’espace Event Latrille, à Cocody-Deux Plateaux, sur les défis auxquels sont confrontés les Centres africains d’excellence et sur les opportunités de renforcer ces structures.
Lors de la clôture, le directeur de cabinet du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Arsène Kobéa, a appelé les participants à capitaliser les opportunités pour assurer un avenir meilleur aux nations.
« Continuons à partager nos expériences, à apprendre les uns des autres et à travailler ensemble pour renforcer nos institutions académiques. Nous pouvons surmonter les verrous qui se dressent devant nous, et nous pouvons exploiter les opportunités qui s’offrent à nous », a-t-il insisté.
Arsène Kobéa a par ailleurs exhorté les gouvernements africains, les partenaires techniques et financiers, et les universités, à travers leurs ressources propres générées, à augmenter l’investissement dans l’enseignement supérieur pour garantir un financement adéquat, investir dans la formation et le développement du personnel académique pour améliorer la qualité de l’enseignement et de la recherche.
Cette rencontre qui a eu pour thème « Soutenir les progrès et célébrer une décennie de changement », a réuni les équipes dirigeantes des 53 centres, les présidents des universités, les principaux représentants des gouvernements et des ministères des pays participants, de la Banque mondiale, de l’Agence française de développement (Afd) et l’équipe régionale de gestion des projets.
« L’Afrique est en train de vivre une transformation économique, sociale et technologique, et l’enseignement supérieur et la recherche sont un pilier essentiel de cette transformation. Les programmes de renforcement des capacités et d’excellence académique que nous développons dans nos centres d’excellence contribuent directement à la croissance durable de nos pays », a-t-il rappelé.
Pour lui, la consolidation des acquis et la durabilité des institutions ne sont pas des objectifs à court terme, mais des processus à long terme. Et cela nécessite un engagement continu, une collaboration internationale renforcée, une mobilisation de ressources financières et humaines adéquates, ainsi qu’une adaptation constante aux évolutions mondiales en matière d’éducation et de recherche.
C’est pourquoi, au nom de son ministre Adama Diawara, le directeur de cabinet a encouragé les participants à maintenir la dynamique qui a été créée lors de ces assises.
Lors de la clôture, le directeur de cabinet du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Arsène Kobéa, a appelé les participants à capitaliser les opportunités pour assurer un avenir meilleur aux nations.
« Continuons à partager nos expériences, à apprendre les uns des autres et à travailler ensemble pour renforcer nos institutions académiques. Nous pouvons surmonter les verrous qui se dressent devant nous, et nous pouvons exploiter les opportunités qui s’offrent à nous », a-t-il insisté.
Arsène Kobéa a par ailleurs exhorté les gouvernements africains, les partenaires techniques et financiers, et les universités, à travers leurs ressources propres générées, à augmenter l’investissement dans l’enseignement supérieur pour garantir un financement adéquat, investir dans la formation et le développement du personnel académique pour améliorer la qualité de l’enseignement et de la recherche.
Cette rencontre qui a eu pour thème « Soutenir les progrès et célébrer une décennie de changement », a réuni les équipes dirigeantes des 53 centres, les présidents des universités, les principaux représentants des gouvernements et des ministères des pays participants, de la Banque mondiale, de l’Agence française de développement (Afd) et l’équipe régionale de gestion des projets.
« L’Afrique est en train de vivre une transformation économique, sociale et technologique, et l’enseignement supérieur et la recherche sont un pilier essentiel de cette transformation. Les programmes de renforcement des capacités et d’excellence académique que nous développons dans nos centres d’excellence contribuent directement à la croissance durable de nos pays », a-t-il rappelé.
Pour lui, la consolidation des acquis et la durabilité des institutions ne sont pas des objectifs à court terme, mais des processus à long terme. Et cela nécessite un engagement continu, une collaboration internationale renforcée, une mobilisation de ressources financières et humaines adéquates, ainsi qu’une adaptation constante aux évolutions mondiales en matière d’éducation et de recherche.
C’est pourquoi, au nom de son ministre Adama Diawara, le directeur de cabinet a encouragé les participants à maintenir la dynamique qui a été créée lors de ces assises.