Fonction publique : Un nouveau statut plus attrayant pour les fonctionnaires
Après trois décennies de mise en œuvre, le statut général de la Fonction publique de Côte d’Ivoire, adopté, le 11 septembre 1992, et perçu à cette époque comme révolutionnaire, ne correspond plus aux réalités vécues par les fonctionnaires.
C’est donc pour corriger toutes ces imperfections afin de lui permettre de répondre aux ambitions du Président Alassane Ouattara, d’offrir une administration performante et moderne à la Côte d’Ivoire, que la ministre d’État, Anne Désirée Ouloto, ministre de la Fonction publique et de la Modernisation de l’Administration a présenté, le 7 novembre 2023, à Yamoussoukro, un nouveau statut aux sénateurs, membres de la Commission des Affaires sociales et culturelles (Casc).
En réaction à son exposé des motifs, les parlementaires n’ont fait aucune difficulté pour donner à l’unanimité des membres présents, quitus à ce projet de loi très attendu par les fonctionnaires. «Ce statut aura le mérite d’offrir une perspective de carrière à tous les agents publics, à quelques niveaux de la hiérarchie administrative», a-t-elle rassuré avant de citer les avantages liés à ce niveau statut.
En effet, selon l’émissaire du Président Alassane Ouattara, ce nouveau statut prévoit la bonne gestion des affaires publiques et de l’État de droit, ainsi que le traitement équitable de tous les agents publics, en même temps qu’il met en place des conditions de travail adéquates et l’amélioration des conditions sociales des fonctionnaires et agents de l’État.
Anne Désirée Ouloto a également expliqué aux sénateurs que ce nouveau statut définit de façon cohérente les concepts d’emploi, de grade et de fonction. Il prévoit en outre la création et la suppression d’emplois, de catégories et de grades ainsi que la redéfinition de la mobilité professionnelle et du profil de carrière. L’affirmation du droit à la formation professionnelle continue, ainsi que le renforcement de la discipline sont également pris en compte dans le nouveau statut.
Mais avant, la ministre d’État Anne Désirée Ouloto est revenue sur les récriminations dont souffrent son administration et ses agents.
Notamment la classification souvent injuste des emplois et des grades.
Il est également décrié des salaires et accessoires de salaire insuffisants et très inégalement répartis, une absence de profil de carrière dans certains corps de métiers, ainsi que l’insuffisance de la prise en compte de la formation continue et le manque de mobilité professionnelle entre les familles d’emplois.
Face donc à toutes ces protestations, Anne Désirée Ouloto a souligné qu’il était « urgent de réformer en profondeur le statut général de la Fonction publique afin de parvenir à une administration publique moderne, performante, professionnelle, modèle, guidée par les principes d’équité, de justice et d’étique’’.
En réaction à son exposé des motifs, les parlementaires n’ont fait aucune difficulté pour donner à l’unanimité des membres présents, quitus à ce projet de loi très attendu par les fonctionnaires. «Ce statut aura le mérite d’offrir une perspective de carrière à tous les agents publics, à quelques niveaux de la hiérarchie administrative», a-t-elle rassuré avant de citer les avantages liés à ce niveau statut.
En effet, selon l’émissaire du Président Alassane Ouattara, ce nouveau statut prévoit la bonne gestion des affaires publiques et de l’État de droit, ainsi que le traitement équitable de tous les agents publics, en même temps qu’il met en place des conditions de travail adéquates et l’amélioration des conditions sociales des fonctionnaires et agents de l’État.
Anne Désirée Ouloto a également expliqué aux sénateurs que ce nouveau statut définit de façon cohérente les concepts d’emploi, de grade et de fonction. Il prévoit en outre la création et la suppression d’emplois, de catégories et de grades ainsi que la redéfinition de la mobilité professionnelle et du profil de carrière. L’affirmation du droit à la formation professionnelle continue, ainsi que le renforcement de la discipline sont également pris en compte dans le nouveau statut.
Mais avant, la ministre d’État Anne Désirée Ouloto est revenue sur les récriminations dont souffrent son administration et ses agents.
Notamment la classification souvent injuste des emplois et des grades.
Il est également décrié des salaires et accessoires de salaire insuffisants et très inégalement répartis, une absence de profil de carrière dans certains corps de métiers, ainsi que l’insuffisance de la prise en compte de la formation continue et le manque de mobilité professionnelle entre les familles d’emplois.
Face donc à toutes ces protestations, Anne Désirée Ouloto a souligné qu’il était « urgent de réformer en profondeur le statut général de la Fonction publique afin de parvenir à une administration publique moderne, performante, professionnelle, modèle, guidée par les principes d’équité, de justice et d’étique’’.