Soutien à l’industrie créative : Plus de 600 milliards de FCfa pour financer le cinéma africain
Renaissance du cinéma africain ! Dans le cadre du projet Canex, l’Afreximbank entend apporter plus de visibilité à l’industrie cinématographique du continent.
Au Caire, dans la capitale égyptienne, la Banque africaine d'import-export (Afreximbank) a annoncé la mise en place d’un fonds d’un milliard de FCfa pour financer l’industrie cinématographique africaine.
Selon Mme Kanayo Awani, le fonds supervisera le financement des films, cofinancera avec de grands studios, financera les cinéastes, producteurs et réalisateurs africains, des projets cinématographiques à travers le continent.
C’était dans le cadre de la 3e édition de la Foire commerciale intra-africaine qui se tient du 9 au 15 novembre 2023, que cette annonce a été faite. Ce fonds, faut-il le signaler, sera disponible dès l’année 2024.
Ce fonds vise à combler les lacunes en matière d’infrastructures et de technologies. Il vise également à faire face au manque de capacités et à la pénurie de professionnels qualifiés, ainsi qu’à un accès limité au marché de l’industrie cinématographique.
De ce constat, Mme Kanayo Awani, vice-présidente exécutive d’Afreximbank, proposera : « les efforts devraient être concentrés sur l’amélioration de l’accès au financement, le renforcement des droits de propriété intellectuelle, l’investissement dans les infrastructures et la technologie, l’amélioration des compétences et des initiatives de renforcement des capacités, la promotion du commerce et des investissements et le développement de plateformes robustes pour la distribution et la monétisation de contenus. »
Selon Mme Kanayo Awani, le fonds supervisera le financement des films, cofinancera avec de grands studios, financera les cinéastes, producteurs et réalisateurs africains, des projets cinématographiques à travers le continent.
C’était dans le cadre de la 3e édition de la Foire commerciale intra-africaine qui se tient du 9 au 15 novembre 2023, que cette annonce a été faite. Ce fonds, faut-il le signaler, sera disponible dès l’année 2024.
Ce fonds vise à combler les lacunes en matière d’infrastructures et de technologies. Il vise également à faire face au manque de capacités et à la pénurie de professionnels qualifiés, ainsi qu’à un accès limité au marché de l’industrie cinématographique.
De ce constat, Mme Kanayo Awani, vice-présidente exécutive d’Afreximbank, proposera : « les efforts devraient être concentrés sur l’amélioration de l’accès au financement, le renforcement des droits de propriété intellectuelle, l’investissement dans les infrastructures et la technologie, l’amélioration des compétences et des initiatives de renforcement des capacités, la promotion du commerce et des investissements et le développement de plateformes robustes pour la distribution et la monétisation de contenus. »