Sangaré Sidiki Boubacar brandit fièrement son diplôme. (Ph: Dr)
Distinction : Sangaré Sidiki Boubacar fait Docteur honoris causa
Le président et représentant résident Côte d'Ivoire de l'Organisation mondiale des experts (Omex), Sangaré Sidiki Boubacar, est depuis le 18 novembre 2023, Docteur honoris causa de Glory international university of California, une université située aux États-Unis d'Amérique. Il a reçu cette distinction à Abidjan. Il s’agit d’une autre distinction après un Master 2 professionnel option Gestion des ressources humaines.
48 heures après la cérémonie de remise, M. Sangaré qui est aussi Officier de l'ordre national de Côte d'Ivoire depuis 2019, ne cache pas ses sentiments de joie et gratitude.
« Recevoir le titre de Docteur honoris causa, c'est un bonheur immense (...) Aujourd'hui c'est notre tour, c'est une grande fierté. Ce diplôme n'appartient pas qu'à Sangaré Sidiki Boubacar, c'est aussi pour tous les membres de mon organisation, l'Omex, et également pour l'État de Côte d'Ivoire... C'est un travail d'équipe et c'est une victoire pour nous tous », a-t-il indiqué.
Homme politique malien et socialiste, porté sur le partage et la générosité, celui qui est le président du parti politique dénommé la Base sociale pour la solidarité (Bss) compte participer à l’élection présidentielle dans son pays, après la période de la transition.
« L'idée première de tout homme politique est d'accéder à la magistrature suprême. (...) Nous travaillons d'arrache-pied afin d'être prêt au moment opportun pour aller à l'élection », a-t-il fait savoir.
« Recevoir le titre de Docteur honoris causa, c'est un bonheur immense (...) Aujourd'hui c'est notre tour, c'est une grande fierté. Ce diplôme n'appartient pas qu'à Sangaré Sidiki Boubacar, c'est aussi pour tous les membres de mon organisation, l'Omex, et également pour l'État de Côte d'Ivoire... C'est un travail d'équipe et c'est une victoire pour nous tous », a-t-il indiqué.
Homme politique malien et socialiste, porté sur le partage et la générosité, celui qui est le président du parti politique dénommé la Base sociale pour la solidarité (Bss) compte participer à l’élection présidentielle dans son pays, après la période de la transition.
« L'idée première de tout homme politique est d'accéder à la magistrature suprême. (...) Nous travaillons d'arrache-pied afin d'être prêt au moment opportun pour aller à l'élection », a-t-il fait savoir.