La présidente de la Simgef, Dr N'Cho Dyane (au centre), appelle à une adhésion massive de ses pairs. (Ph: Dr)
La présidente de la Simgef, Dr N'Cho Dyane (au centre), appelle à une adhésion massive de ses pairs. (Ph: Dr)
Médecine : Les médecins généralistes ont désormais une société savante
A l’instar de leurs collègues des spécialités, les médecins généralistes de Côte d’Ivoire ont décidé d’apporter une plus-value à leur profession, en créant une société savante.
L’assemblée générale constitutive de la Société ivoirienne de médecine générale et de médecine de famille (Simgef) a eu lieu le 27 mai 2023 à Abidjan. Le lancement officiel de ses activités a eu lieu le 16 novembre 2023, à Cocody.
Contrairement à l’imagerie populaire qui donne l’impression que la médecine générale est une médecine de seconde zone, la présidente de la Simgef, Dr N’Cho Dyane, fait remarquer le contraire.
Pour elle, le médecin généraliste est la porte d’entrée du système sanitaire, donc le premier contact du malade. Mieux, elle explique que cette médecine offre une spécialité orientée vers les soins primaires et centrée sur le malade, en tenant compte, en plus de son physique, de son aspect psychologique et même social.
En s'informant sur son milieu de vie. Raison pour laquelle les médecins généralistes militent pour la valorisation de leur travail.
Pour se donner les moyens d’atteindre cet objectif, les généralistes, à travers leur société savante, s’engagent à planifier des formations continues, développer la médecine de famille, informer les médecins généralistes sur les dernières recommandations nationales et internationales et collaborer avec d’autres sociétés savantes.
En somme, un accent particulier est mis sur la formation continue pour améliorer la prise en charge des malades.
L'objectif, précise Dr N’Cho Dyane de la Simgef, est de faire de la médecine générale, une spécialité, comme c’est la pratique ailleurs. Avec des généralistes capables de donner une réponse adéquate à toutes les situations sanitaires qui se présentent. En attendant la prise en charge par le spécialiste pour des cas qui le nécessitent. Ce qui pourrait être une alternative crédible.
Au nombre des activités de la jeune société savante, l’on note sa participation à la création de la fédération africaine de médecine générale et médecine de famille en Tunisie.
Un atelier scientifique est annoncé en mars 2024 et en plus des partenariats en cours de signature avec des laboratoires pharmaceutiques pour soutenir la formation continue des membres.
Le bureau exécutif invite les médecins généralistes à la mobilisation autour de leur société savante à l’image de leurs confrères d’autres pays, notamment le Maroc.
Contrairement à l’imagerie populaire qui donne l’impression que la médecine générale est une médecine de seconde zone, la présidente de la Simgef, Dr N’Cho Dyane, fait remarquer le contraire.
Pour elle, le médecin généraliste est la porte d’entrée du système sanitaire, donc le premier contact du malade. Mieux, elle explique que cette médecine offre une spécialité orientée vers les soins primaires et centrée sur le malade, en tenant compte, en plus de son physique, de son aspect psychologique et même social.
En s'informant sur son milieu de vie. Raison pour laquelle les médecins généralistes militent pour la valorisation de leur travail.
Pour se donner les moyens d’atteindre cet objectif, les généralistes, à travers leur société savante, s’engagent à planifier des formations continues, développer la médecine de famille, informer les médecins généralistes sur les dernières recommandations nationales et internationales et collaborer avec d’autres sociétés savantes.
En somme, un accent particulier est mis sur la formation continue pour améliorer la prise en charge des malades.
L'objectif, précise Dr N’Cho Dyane de la Simgef, est de faire de la médecine générale, une spécialité, comme c’est la pratique ailleurs. Avec des généralistes capables de donner une réponse adéquate à toutes les situations sanitaires qui se présentent. En attendant la prise en charge par le spécialiste pour des cas qui le nécessitent. Ce qui pourrait être une alternative crédible.
Au nombre des activités de la jeune société savante, l’on note sa participation à la création de la fédération africaine de médecine générale et médecine de famille en Tunisie.
Un atelier scientifique est annoncé en mars 2024 et en plus des partenariats en cours de signature avec des laboratoires pharmaceutiques pour soutenir la formation continue des membres.
Le bureau exécutif invite les médecins généralistes à la mobilisation autour de leur société savante à l’image de leurs confrères d’autres pays, notamment le Maroc.