Festival des vents d’Abidjan (Feva 2024) : Le show des virtuoses au Cscticao
Le premier Festival des vents d’Abidjan (Feva) a tenu toutes ses promesses le 30 novembre 2024, au Centre sportif, culturel et des Tic ivoiro-coréen Alassane Ouattara (Cscticao).
Une soixantaine de talentueux trompettistes, saxophonistes, clarinettistes et autres flutistes ont illuminé le festival de leur virtuosité. Des virtuoses, autrefois cachés dans les cabarets et autres salles de spectacle du pays, qui ont été mis en lumière à travers un concert de ventistes en solo, en duo, en trio, en quarto, etc.
Certains, constitués en section cuivre, en fanfare, brass band... Tous ont mêlé avec dextérité, variétés, musiques urbaines, styles tradimodernes et autres influences africaines. Tout en restant ancré dans l’identité ivoirienne.
Tout a commencé par des panels et des ateliers sur des thématiques variées, notamment « Comment développer sa carrière à l’ère du digital » et « Comprendre les harmonies dans les systèmes d’orchestration ».
La cérémonie d’ouverture a été marquée par la prestation du groupe mythique Yakomin qui vient de fêter ses 20 ans. « Le clou de la journée a été dédié aux jeunes musiciens en pleine éclosion. C’est aussi cela l’objectif du Feva qui aspire à faire découvrir les instruments à vent et par ricochet ceux qui les jouent en Côte d’Ivoire », confie Morell Bony alias Elson saxophoniste et enseignant à l’Insaac, par ailleurs, commissaire général du festival.
Avant de dire sa gratitude au public qui a fait le déplacement, mais aussi à toutes ces bonnes volontés, grâce à qui la manifestation a pu voir le jour. Notamment l’ancien ministre de l’Intérieur, Bamba Cheick Daniel, président du conseil d’administration du Cscticao, lui même passionné d’instruments à vent.
En mission, à l’intérieur du pays dans le cadre de ses activités de directeur général de l’Agence foncière rurale, il a été représenté par Moussa Sylla, chargé du développement des échanges culturels et sportifs du centre.
Certains, constitués en section cuivre, en fanfare, brass band... Tous ont mêlé avec dextérité, variétés, musiques urbaines, styles tradimodernes et autres influences africaines. Tout en restant ancré dans l’identité ivoirienne.
Tout a commencé par des panels et des ateliers sur des thématiques variées, notamment « Comment développer sa carrière à l’ère du digital » et « Comprendre les harmonies dans les systèmes d’orchestration ».
La cérémonie d’ouverture a été marquée par la prestation du groupe mythique Yakomin qui vient de fêter ses 20 ans. « Le clou de la journée a été dédié aux jeunes musiciens en pleine éclosion. C’est aussi cela l’objectif du Feva qui aspire à faire découvrir les instruments à vent et par ricochet ceux qui les jouent en Côte d’Ivoire », confie Morell Bony alias Elson saxophoniste et enseignant à l’Insaac, par ailleurs, commissaire général du festival.
Avant de dire sa gratitude au public qui a fait le déplacement, mais aussi à toutes ces bonnes volontés, grâce à qui la manifestation a pu voir le jour. Notamment l’ancien ministre de l’Intérieur, Bamba Cheick Daniel, président du conseil d’administration du Cscticao, lui même passionné d’instruments à vent.
En mission, à l’intérieur du pays dans le cadre de ses activités de directeur général de l’Agence foncière rurale, il a été représenté par Moussa Sylla, chargé du développement des échanges culturels et sportifs du centre.