Crise affective : Des experts présentent des solutions pour s’en sortir
Martine Gokra, communicatrice et promotrice du genre, a organisé le samedi 25 novembre 2023, à la salle polyvalente de la Bibliothèque nationale, à Abidjan-Plateau, un panel sur le thème : « Comprendre et sortir de la crise affective ».
A cette occasion, trois panelistes se sont prononcés sur le sujet. Il s’agit de Rita Christiane Adou, engagée auprès des enfants souffrant de paralysie cérébrale au centre Don Orion de Bonoua ; Jean François Youeto, auteur et Binta Sanogo épouse Kouao, présidente de la Fondation Marie-Anne et Zacharie pour l’éducation.
Selon Rita Christiane Adou, titulaire d'un Master en psychologie du développement obtenu à l'Université Félix Houphouët-Boigny d'Abidjan-Cocody, l’affection est le fait de ressentir une certaine bienveillance ou une attirance positive envers une personne.
Pour elle, lorsqu’une crise affective survient, deux options s’offrent à la personne qui en souffre : soit régresser ou progresser. Mais à entendre Rita Christiane Adou, l’individu se doit de choisir de progresser.
Binta Sanogo épouse Kouao, mère dévouée de trois enfants qui par ailleurs cumule 17 années d'expériences en finance et gestion d'entreprise, estime que pour sortir de la crise affective, l'on doit se réorienter vers ce qu’on diffuse ou vers les autres.
Quant à Jean François Youeto, titulaire d'un Diplôme d’études approfondies (Dea) en philosophie politique et du langage de l'Université Pierre Mandès de Grenoble, France, il explique également que pour aider l’homme à trouver une issue à sa souffrance, il faut qu'il se connaisse, s’aime lui-même et serve ce qu’il a aux autres.
ANDREA POHI (STAGIAIRE)
Selon Rita Christiane Adou, titulaire d'un Master en psychologie du développement obtenu à l'Université Félix Houphouët-Boigny d'Abidjan-Cocody, l’affection est le fait de ressentir une certaine bienveillance ou une attirance positive envers une personne.
Pour elle, lorsqu’une crise affective survient, deux options s’offrent à la personne qui en souffre : soit régresser ou progresser. Mais à entendre Rita Christiane Adou, l’individu se doit de choisir de progresser.
Binta Sanogo épouse Kouao, mère dévouée de trois enfants qui par ailleurs cumule 17 années d'expériences en finance et gestion d'entreprise, estime que pour sortir de la crise affective, l'on doit se réorienter vers ce qu’on diffuse ou vers les autres.
Quant à Jean François Youeto, titulaire d'un Diplôme d’études approfondies (Dea) en philosophie politique et du langage de l'Université Pierre Mandès de Grenoble, France, il explique également que pour aider l’homme à trouver une issue à sa souffrance, il faut qu'il se connaisse, s’aime lui-même et serve ce qu’il a aux autres.
ANDREA POHI (STAGIAIRE)