Centre sportif, culturel et des Tic ivoiro-coréen Alassane Ouattara: Le taekwondo et la langue coréenne au menu
Désormais, on peut apprendre le taekwondo et la langue coréenne en Côte d’Ivoire.
Les populations ivoiriennes et étrangères sont invitées à s’adresser au Centre sportif culturel et des Tic ivoiro-coréen Alassane Ouattara situé à la lisière des communes d’Adjamé et de Cocody, précisément entre le lycée technique d’Abidjan et le quartier des 220 logements d’Adjamé Liberté où les cours de langue coréenne sont dispensés.
C’était l’un des rêves de Bamba Cheick Daniel, président du Conseil d’administration du Centre sportif culturel et des Tic ivoiro-coréen Alassane Ouattara (Cscticao). Lorsqu’il faisait construire ce centre à Abidjan, il voulait qu’en plus de la pratique du taekwondo que l’on puisse apprendre également la langue coréenne dans ce temple.
Depuis vendredi, ce rêve est devenu une réalité. Le centre a ouvert officiellement l’enseignement de la langue coréenne, et ce, grâce à la Fondation King Sejong. La cérémonie de lancement parrainée par Françoise Remarck, ministre de la Culture et de la Francophonie, s’est déroulée en présence de l’ambassadeur de Corée en Côte d’Ivoire, M. Kim Saeng.
C’est le début de l’apprentissage de la langue coréenne pour tous les Ivoiriens qui le souhaitent. Notamment pour les étudiants de l’Institut national de la jeunesse et des sports (Injs) inscrits en professorat, option taekwondo. Cela leur permettra, selon Bamba Cheick Daniel, de mieux enseigner ce sport qui est leur matière.
Cette école du Cscticao devrait aider à grossir le nombre d’Ivoiriens maîtrisant la langue coréenne. Ce qui, assurément, devrait permettre de faciliter les échanges à divers niveaux entre les peuples ivoirien, coréen et favoriser le rapprochement des deux peuples.
En tout cas, le directeur général de l’Injs, Habib Anzoumana Sanogo, présent dans la salle, n’a vu aucun inconvénient à inscrire au nombre des matières à enseigner, dans son institut, l’alphabet coréen : le Hangeul et la langue coréenne aux étudiants de son institution universitaire.
Anzoumana Siaka, directeur général par intérim du centre, depuis la fin du contrat de Kognot Angelot, a d’abord présenté les premiers étudiants en apprentissage de la langue coréenne. Ils étaient une vingtaine.
Des hommes et des femmes heureux de faire partie de cette première expérience. Ensuite, la marraine, la ministre de la Culture et de la Francophonie a pris des engagements forts à accompagner le Cscticao dans ce projet, pour faire de la langue coréenne un projet culturel pour les deux pays.
De son côté, l’ambassade de Corée, dans la mise en œuvre de cette initiative avec le Cscticao, a fait la promesse de faire de l’Institut King Sejong d’Abidjan, un grand institut de langue en Côte d’Ivoire.
C’était l’un des rêves de Bamba Cheick Daniel, président du Conseil d’administration du Centre sportif culturel et des Tic ivoiro-coréen Alassane Ouattara (Cscticao). Lorsqu’il faisait construire ce centre à Abidjan, il voulait qu’en plus de la pratique du taekwondo que l’on puisse apprendre également la langue coréenne dans ce temple.
Depuis vendredi, ce rêve est devenu une réalité. Le centre a ouvert officiellement l’enseignement de la langue coréenne, et ce, grâce à la Fondation King Sejong. La cérémonie de lancement parrainée par Françoise Remarck, ministre de la Culture et de la Francophonie, s’est déroulée en présence de l’ambassadeur de Corée en Côte d’Ivoire, M. Kim Saeng.
C’est le début de l’apprentissage de la langue coréenne pour tous les Ivoiriens qui le souhaitent. Notamment pour les étudiants de l’Institut national de la jeunesse et des sports (Injs) inscrits en professorat, option taekwondo. Cela leur permettra, selon Bamba Cheick Daniel, de mieux enseigner ce sport qui est leur matière.
Cette école du Cscticao devrait aider à grossir le nombre d’Ivoiriens maîtrisant la langue coréenne. Ce qui, assurément, devrait permettre de faciliter les échanges à divers niveaux entre les peuples ivoirien, coréen et favoriser le rapprochement des deux peuples.
En tout cas, le directeur général de l’Injs, Habib Anzoumana Sanogo, présent dans la salle, n’a vu aucun inconvénient à inscrire au nombre des matières à enseigner, dans son institut, l’alphabet coréen : le Hangeul et la langue coréenne aux étudiants de son institution universitaire.
Anzoumana Siaka, directeur général par intérim du centre, depuis la fin du contrat de Kognot Angelot, a d’abord présenté les premiers étudiants en apprentissage de la langue coréenne. Ils étaient une vingtaine.
Des hommes et des femmes heureux de faire partie de cette première expérience. Ensuite, la marraine, la ministre de la Culture et de la Francophonie a pris des engagements forts à accompagner le Cscticao dans ce projet, pour faire de la langue coréenne un projet culturel pour les deux pays.
De son côté, l’ambassade de Corée, dans la mise en œuvre de cette initiative avec le Cscticao, a fait la promesse de faire de l’Institut King Sejong d’Abidjan, un grand institut de langue en Côte d’Ivoire.