"Et si la Côte d’Ivoire m’était contée par des éléphantidés": 20 nouvelles pour tourner la page de la crise post-électorale
L'œuvre a été officiellement présentée le 2 décembre, à Cocody.
« Et si la Côte d’Ivoire m’était contée par les éléphantidés ». C’est avec ce recueil de nouvelles que Moussa Diakité effectue son entrée dans la sphère des auteurs d’ouvrages littéraires. La présentation officielle de cette œuvre a eu lieu le 2 décembre 2023, à la libraire Carrefour Siloé, à Cocody.
C’est à travers le récit d’éléphantidés (appellation des éléphants au moyen-âge) que l’auteur conduit le lecteur à travers la crise post-électorale qu’a vécue la Côte d’Ivoire, il y a une dizaine d’années.
La vingtaine de nouvelles que comporte l’ouvrage aborde des thèmes variés tels que l’intolérance ethnique et religieuse, la guerre civile, le tribalisme, la réconciliation et la guerre tribale.
A travers cet ouvrage de 96 pages, l’auteur invite à tourner définitivement la page douloureuse de la crise politico-militaire ivoirienne.
Présent au Canada lors de cette étape douloureuse de l’histoire de son pays, cette œuvre se veut une contribution à un nouveau départ de la Côte d’Ivoire. Et inviter le peuple ivoirien à jalousement conserver son unité et sa paix. Des valeurs qui l’ont longtemps défini.
« ...Plus jamais ça, belle Côte d’Ivoire. Cette expérience macabre doit nous stimuler, nous éléphantidés, à pelleter avec sagesse et intellect, tout en jetant un regard sur notre cheminement pour trouver le sentier de notre propre devenir dans notre pays », peut-on lire à la quatrième de couverture de l’ouvrage.
L’oeuvre se singularise par la pluralité de styles littéraires qu’utilise l’auteur. Poésie, roman, essai, nouvelle, épopée, conte, etc., sont autant de registres littéraires que l’auteur combine à travers son livre. Une combinaison de styles réussie que l’écrivain Jules Dégny, commis à la critique de l’ouvrage, a qualifié de "style N'Zassa".
La vingtaine de nouvelles que comporte l’ouvrage aborde des thèmes variés tels que l’intolérance ethnique et religieuse, la guerre civile, le tribalisme, la réconciliation et la guerre tribale.
A travers cet ouvrage de 96 pages, l’auteur invite à tourner définitivement la page douloureuse de la crise politico-militaire ivoirienne.
Présent au Canada lors de cette étape douloureuse de l’histoire de son pays, cette œuvre se veut une contribution à un nouveau départ de la Côte d’Ivoire. Et inviter le peuple ivoirien à jalousement conserver son unité et sa paix. Des valeurs qui l’ont longtemps défini.
« ...Plus jamais ça, belle Côte d’Ivoire. Cette expérience macabre doit nous stimuler, nous éléphantidés, à pelleter avec sagesse et intellect, tout en jetant un regard sur notre cheminement pour trouver le sentier de notre propre devenir dans notre pays », peut-on lire à la quatrième de couverture de l’ouvrage.
L’oeuvre se singularise par la pluralité de styles littéraires qu’utilise l’auteur. Poésie, roman, essai, nouvelle, épopée, conte, etc., sont autant de registres littéraires que l’auteur combine à travers son livre. Une combinaison de styles réussie que l’écrivain Jules Dégny, commis à la critique de l’ouvrage, a qualifié de "style N'Zassa".