Miss Littérature Afrique : Abidjan accueille la finale de la troisième édition
Promouvoir l’intellect féminin et contribuer au rehaussement du niveau de langue en Afrique francophone à travers la littérature. C’est le double objectif du concours Miss Littérature Afrique dont la 3e finale se disputera à Abidjan, le 16 décembre 2023.
Dix pays, à savoir le Bénin, le Burkina Faso, le Cameroun, le Gabon, la Guinée, le Mali, le Niger, le Tchad, le Togo et la Côte d’Ivoire participent à ce challenge de la beauté intellectuelle.
Plusieurs épreuves intellectuelles rythment cet évènement. Telles que des épreuves écrites et orales, la présentation d’une œuvre imposée, des questions sur l’œuvre et des dictées.
Les candidates dont l’âge est compris entre 18 et 24 ans, tenteront de ravir la couronne actuellement détenue par la Burkinabè Bitibaly Zerbo Rose (2021). La première édition a été remportée par l’Ivoirienne Soro Yélé Aïcha (2019).
La Côte d’Ivoire abrite pour la toute première fois la phase finale de cette compétition qui se déroule habituellement à Cotonou au Bénin.
Anassé Marie Edwige, étudiante en Master des lettres modernes, défendra les couleurs de la Côte d'Ivoire.
Ce concours se veut une réponse à la baisse du niveau de langue des élèves et étudiants de nombreux pays africains, qui écrivent et s’expriment de plus en plus mal en français de nos jours.
Plusieurs épreuves intellectuelles rythment cet évènement. Telles que des épreuves écrites et orales, la présentation d’une œuvre imposée, des questions sur l’œuvre et des dictées.
Les candidates dont l’âge est compris entre 18 et 24 ans, tenteront de ravir la couronne actuellement détenue par la Burkinabè Bitibaly Zerbo Rose (2021). La première édition a été remportée par l’Ivoirienne Soro Yélé Aïcha (2019).
La Côte d’Ivoire abrite pour la toute première fois la phase finale de cette compétition qui se déroule habituellement à Cotonou au Bénin.
Anassé Marie Edwige, étudiante en Master des lettres modernes, défendra les couleurs de la Côte d'Ivoire.
Ce concours se veut une réponse à la baisse du niveau de langue des élèves et étudiants de nombreux pays africains, qui écrivent et s’expriment de plus en plus mal en français de nos jours.