Le directeur général de l’Amuga, Romain Kouakou Kouakou (2e à partir de la droite), à l’étape de Marcory. (Franck YEO)
Le directeur général de l’Amuga, Romain Kouakou Kouakou (2e à partir de la droite), à l’étape de Marcory. (Franck YEO)
Fluidité routière : L’Amuga visite ses installations stratégiques
Permettre aux populations de circuler aisément dans le grand Abidjan, surtout en période fête, telle est l’une des missions de l’Autorité de la mobilité urbaine dans le grand Abidjan (Amuga). C’est dans ce cadre que son directeur général, Romain Kouakou Kouakou, en compagnie de ses proches collaborateurs a entrepris une visite de plusieurs sites stratégiques dans le district autonome d’Abidjan, le samedi 30 décembre 2023.
Cette visite a débuté dans la commune de Yopougon précisément aux carrefours Siporex et sable, puis à Treichville gare de Bassam et Solibra, pour s’achever à Marcory. Aidés par la police nationale et la police municipale de ces différentes communes, les agents de l’Amuga procédaient à la régulation de la circulation à ces différents carrefours stratégiques qui constituent des nœuds d’engorgement.
Le directeur général de l’Amuga, Romain Kouakou Kouakou, a félicité les agents de la police nationale et les agents municipaux, ainsi que tous les agents régulateurs. Avant de rappeler que l’Amuga a pour mission de créer une fluidité au niveau des axes de circulation dans les périodes de fin d’année et les périodes de fête où la circulation est beaucoup plus dense, en renforçant sa présence auprès de la police nationale et la police municipale.
« Depuis le 23 décembre 2023 et ce, jusqu’au 2 janvier 2024, les agents seront là de façon soutenue pour apporter leur assistance aux forces de l’ordre pour réguler la circulation. Le ministre des transports nous a instruits de visiter toutes les équipes mises en place afin que le travail se passe bien », a-t-il indiqué. Pour lui, la présence de ses agents fait qu’il y a moins d’accidents de la circulation.
A l’occasion, le directeur général de l’Amuga a invité les automobilistes en cette période festive, à la prudence et à la patience sur les voies, car dit-il, 90% des causes des accidents viennent de l’homme. « Les piétons et les deux roues que voyons dans la circulation, nous leur demandons de respecter le code la route. Si nous avons des comportements citoyens, cela permettra de réduire les accidents », a insisté Romain Kouakou Kouakou.
Le directeur des aménagements et des appuis opérationnels à l’Amuga, Ouattara Karamoko Siédou, réitéré qu’il s’agit de faire en sorte que la circulation soit très fluide sur les principales voies. « Nous mettons un dispositif en place pour venir en appui aux forces de l’ordre, notamment à l’unité de régulation de la circulation et la police municipale afin de les aider à gérer certains carrefours très critiques, sensibles aux perturbations », fait-il savoir.
Selon lui, les agents de l’Amuga sont habituellement sur le terrain de 6 heures jusqu’à 20 heures, mais de manière exceptionnelle, leur horaires de travail ont été rallongées du fait de la densité de la circulation en cette période fête. « Ils sont là jusqu’à 22 heures, voire 24 heures. En d’autres termes, jusqu’à ce que la circulation soit gérable ou le carrefour peut s’autoréguler. En ce moment nos agents se retirent », a expliqué Ouattara Karamoko Siédou.
A l’en croire, il y a une soixantaine d’agents de l’Amuga pour environ 20 carrefours critiques identifiés dans le District autonome d’Abidjan
Le directeur général de l’Amuga, Romain Kouakou Kouakou, a félicité les agents de la police nationale et les agents municipaux, ainsi que tous les agents régulateurs. Avant de rappeler que l’Amuga a pour mission de créer une fluidité au niveau des axes de circulation dans les périodes de fin d’année et les périodes de fête où la circulation est beaucoup plus dense, en renforçant sa présence auprès de la police nationale et la police municipale.
« Depuis le 23 décembre 2023 et ce, jusqu’au 2 janvier 2024, les agents seront là de façon soutenue pour apporter leur assistance aux forces de l’ordre pour réguler la circulation. Le ministre des transports nous a instruits de visiter toutes les équipes mises en place afin que le travail se passe bien », a-t-il indiqué. Pour lui, la présence de ses agents fait qu’il y a moins d’accidents de la circulation.
A l’occasion, le directeur général de l’Amuga a invité les automobilistes en cette période festive, à la prudence et à la patience sur les voies, car dit-il, 90% des causes des accidents viennent de l’homme. « Les piétons et les deux roues que voyons dans la circulation, nous leur demandons de respecter le code la route. Si nous avons des comportements citoyens, cela permettra de réduire les accidents », a insisté Romain Kouakou Kouakou.
Le directeur des aménagements et des appuis opérationnels à l’Amuga, Ouattara Karamoko Siédou, réitéré qu’il s’agit de faire en sorte que la circulation soit très fluide sur les principales voies. « Nous mettons un dispositif en place pour venir en appui aux forces de l’ordre, notamment à l’unité de régulation de la circulation et la police municipale afin de les aider à gérer certains carrefours très critiques, sensibles aux perturbations », fait-il savoir.
Selon lui, les agents de l’Amuga sont habituellement sur le terrain de 6 heures jusqu’à 20 heures, mais de manière exceptionnelle, leur horaires de travail ont été rallongées du fait de la densité de la circulation en cette période fête. « Ils sont là jusqu’à 22 heures, voire 24 heures. En d’autres termes, jusqu’à ce que la circulation soit gérable ou le carrefour peut s’autoréguler. En ce moment nos agents se retirent », a expliqué Ouattara Karamoko Siédou.
A l’en croire, il y a une soixantaine d’agents de l’Amuga pour environ 20 carrefours critiques identifiés dans le District autonome d’Abidjan