
Le chef de l’État Alassane Ouattara : "Nous devons œuvrer à mieux communiquer". (Ph: Dr)
Le chef de l’État Alassane Ouattara : "Nous devons œuvrer à mieux communiquer". (Ph: Dr)
Bonne gouvernance : Ces petits propos du Chef de l’État qui font écho
« Si l'autorité n'a pas d'oreille pour écouter, elle n'a pas de tête pour gouverner », dit un proverbe danois.
« Un des tests de l'autorité est d'identifier un problème avant qu'il ne devienne une urgence », ajoute, de son côté, Arnold Glasgow.
C’est à croire que le Chef de l’État a conjugué les deux approches lors du premier conseil des ministres de l'année 2024, jeudi 4 janvier.
En indiquant, « je comprends les préoccupations de nos concitoyens », s’’agissant de l’électricité, Alassane Ouattara a rappelé dans les consciences, le fameux « je vous ai compris » d’un certain de Gaulle.
Écouter, c’est aussi répondre. Et là-dessus, la réponse doit parfois pouvoir anticiper les préoccupations. Sur ce front, les choses doivent s’améliorer. Car le président de la République dénonce lui-même un déficit de la communication.
« Nous devons œuvrer à mieux communiquer sur nos résultats et faire en sorte que notre action touche encore plus l’ensemble de nos concitoyens dans leur quotidien », requiert-il.
Ayant pris la mesure la cherté de la vie et comme pour éviter que le problème « ne devienne une urgence » (selon le mot d'Arnold Glasgow), il demande à son gouvernement de travailler à mettre en priorité la demande nationale en matière de denrée nationale.
En particulier, le chef de l’État demande « d’accélérer l’élaboration et la mise en œuvre des projets visant à améliorer la production des principales denrées alimentaires que nous consommons ».
Une approche, qui à ses yeux , « permettra de mieux maîtriser le coût de la vie, notamment en ce qui concerne les produits alimentaires ». Et c’est « une fois que nous serons satisfaits de l’impact de la production nationale sur les prix intérieurs et sur le coût de la vie, nous pourrons envisager les exportations ».
C’est à croire que le Chef de l’État a conjugué les deux approches lors du premier conseil des ministres de l'année 2024, jeudi 4 janvier.
En indiquant, « je comprends les préoccupations de nos concitoyens », s’’agissant de l’électricité, Alassane Ouattara a rappelé dans les consciences, le fameux « je vous ai compris » d’un certain de Gaulle.
Écouter, c’est aussi répondre. Et là-dessus, la réponse doit parfois pouvoir anticiper les préoccupations. Sur ce front, les choses doivent s’améliorer. Car le président de la République dénonce lui-même un déficit de la communication.
« Nous devons œuvrer à mieux communiquer sur nos résultats et faire en sorte que notre action touche encore plus l’ensemble de nos concitoyens dans leur quotidien », requiert-il.
Ayant pris la mesure la cherté de la vie et comme pour éviter que le problème « ne devienne une urgence » (selon le mot d'Arnold Glasgow), il demande à son gouvernement de travailler à mettre en priorité la demande nationale en matière de denrée nationale.
En particulier, le chef de l’État demande « d’accélérer l’élaboration et la mise en œuvre des projets visant à améliorer la production des principales denrées alimentaires que nous consommons ».
Une approche, qui à ses yeux , « permettra de mieux maîtriser le coût de la vie, notamment en ce qui concerne les produits alimentaires ». Et c’est « une fois que nous serons satisfaits de l’impact de la production nationale sur les prix intérieurs et sur le coût de la vie, nous pourrons envisager les exportations ».