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Angola : Les forces de sécurité accusées d'une douzaine de meurtres par Human Rights Watch
L’étude relève aussi que « la presse a été attaquée à plusieurs reprises tout au long de l'année, les autorités continuant d'utiliser des lois draconiennes sur les médias pour réprimer et harceler les journalistes ». Human Rights Watch ajoute que la liberté d'association était sous pression alors que le gouvernement tentait de faire adopter une nouvelle loi sur les organisations non gouvernementales (ONG) limitant les activités des groupes de la société civile.
Quant aux femmes et aux filles, en particulier les marchandes ambulantes et les migrantes, elles ont continué de subir des exactions de la part des forces de sécurité, selon l’organisme international des droits humains.
Dans un article paru le 7 août 2023 dans Libération, l’on a pu lire : « Dans un contexte de forte contestation sociale, l’ONG Human Rights Watch a recensé quinze exécutions d’opposants au président João Lourenço, et pointe des centaines d’arrestations arbitraires ».