CAN en Côte d'Ivoire : Un moment pour des spectateurs d’afficher leur amour
La Coupe d’Afrique des nations (Can 2023) qui se déroule en Côte d’Ivoire depuis le 13 janvier 2024, est une opportunité de rassemblement et de manifestation de la cohésion entre Africains.
Au-delà, l’évènement donne l’occasion de constater que cette grand-messe est aussi une aubaine pour nombre de spectateurs d’afficher leur amour pour leur conjointe ou conjoint, amant ou amante.
Ainsi, dans les stades Olympique Alassane Ouattara d’Ebimpé et Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan-Plateau, ceux-ci n’hésitent pas à arborer fièrement leurs maillots aux couleurs du drapeau ivoirien avec des inscriptions qui ne passent pas inaperçues : « Mari de Yasmine » ; « Yasmine épouse Sidibé » ; « Mari de Kady et Maï » ; « Ta go mon combat » ; « Le débout dit que ma go lui plaît » ; « I love you Marie-Ange ». D’autres se rendent dans le stade en couple, maillots de mêmes couleurs pour être sûrs de revenir au même moment.
Est-ce une crainte des visiteuses ou visiteurs ayant franchi les bords de la lagune Ebrié pour voir de plus près le déroulement de ce moment festif africain, arracher leur conjoint ou conjointe ? A l’opposé, l’on aperçoit des Ivoiriens qui se prêtent à ce jeu en se prenant en photo avec certains visiteurs. Des images qui sont par la suite relayées sur les réseaux.
En tout cas, le constat prête à croire cette crainte dans les différents stades. Il faut alors se mettre à l’abri. Consolider son amour ou sécuriser pour ne point se faire surprendre. C’est aussi cela, la Can.
Ainsi, dans les stades Olympique Alassane Ouattara d’Ebimpé et Félix Houphouët-Boigny d’Abidjan-Plateau, ceux-ci n’hésitent pas à arborer fièrement leurs maillots aux couleurs du drapeau ivoirien avec des inscriptions qui ne passent pas inaperçues : « Mari de Yasmine » ; « Yasmine épouse Sidibé » ; « Mari de Kady et Maï » ; « Ta go mon combat » ; « Le débout dit que ma go lui plaît » ; « I love you Marie-Ange ». D’autres se rendent dans le stade en couple, maillots de mêmes couleurs pour être sûrs de revenir au même moment.
Est-ce une crainte des visiteuses ou visiteurs ayant franchi les bords de la lagune Ebrié pour voir de plus près le déroulement de ce moment festif africain, arracher leur conjoint ou conjointe ? A l’opposé, l’on aperçoit des Ivoiriens qui se prêtent à ce jeu en se prenant en photo avec certains visiteurs. Des images qui sont par la suite relayées sur les réseaux.
En tout cas, le constat prête à croire cette crainte dans les différents stades. Il faut alors se mettre à l’abri. Consolider son amour ou sécuriser pour ne point se faire surprendre. C’est aussi cela, la Can.