Le Président de la Commission de la Cedeao, Omar Alieu Turay
Cedeao : La Commission dément avoir réagi à l'annonce d'un retrait du Burkina Faso, du Mali et du Niger
Par conséquent, la Commission précise que les trois pays « demeurent des membres importants » de l’organisation. Ce, en ajoutant que l’organe de décision – le Conférence des Chefs d’État et de Gouvernement - travaille au retour de l’ordre constitutionnel dans les pays susmentionnés.
Cette annonce de retrait intervient trois jours apres l'échec d'une mission de la Cedeao à Niamey.
Dans le communiqué produit suite à l'annulation de la mission, la Commission a exprimé son regret de ne pas avoir pu effectuer le déplacement de la capitale nigérienne, parce que les dispositions idoines n'ont pas été prises par la junte, refusant ainsi de permettre l'arrivée du vol prévu.
Le premier communiqué suscite de nombreuses réactions notamment sur X (Twitter). Des internautes apportent leur soutien à Bamako, Niamey et Ouagadougou. Nicolas Macron (@loukman61355) invite la Commission a préciser qu’il s’agit « d’ex-membres de la Cedeao », comme pour se soumettre à la volonté des trois juntes.
Bachama Prince (@bachamaprince) est de cet avis, puisqu’il souligné « le droit d’association » dont bénéficient les trois gouvernements. Gandaho (@G.Jinola) est plus radical encore. «Pas de négociation avec vous (Cedeao ndlr) », écrit-il.
Le second également. Puisqu’il est maintes fois rappelé à la Commission de surveiller sa page x (Twitter), afin deviter le piratage dont elle fait mention. Pour rappel, la Commission avait dû apporter un démenti lorsqu'un communiqué publié sur sa même page relativement au Président nigérian, Ahmed Bola Tinubu, aurait exprimé son souhait de negocier avec la junte de Niamey. Ce, alors ue la position de l'organisation sous-régionale était d'exercer davantage de pression afin que les militaires lâchent prise.
Bachama Prince (@bachamaprince) est de cet avis, puisqu’il souligné « le droit d’association » dont bénéficient les trois gouvernements. Gandaho (@G.Jinola) est plus radical encore. «Pas de négociation avec vous (Cedeao ndlr) », écrit-il.
Le second également. Puisqu’il est maintes fois rappelé à la Commission de surveiller sa page x (Twitter), afin deviter le piratage dont elle fait mention. Pour rappel, la Commission avait dû apporter un démenti lorsqu'un communiqué publié sur sa même page relativement au Président nigérian, Ahmed Bola Tinubu, aurait exprimé son souhait de negocier avec la junte de Niamey. Ce, alors ue la position de l'organisation sous-régionale était d'exercer davantage de pression afin que les militaires lâchent prise.