
À travers une approche interactive, cet atelier a présenté les importants résultats réalisés et les recommandations, tout en proposant des stratégies. (Ph: Dr)
À travers une approche interactive, cet atelier a présenté les importants résultats réalisés et les recommandations, tout en proposant des stratégies. (Ph: Dr)
Réfugiés /Aide aux personnes vulnérables : Caritas CI présente les résultats de deux études
Un atelier de restitution des résultats des études multisectorielles des besoins en général et des chaînes de valeur de l’anacarde et de l’igname, ainsi que des besoins des réfugiés et des communautés hôtes du Nord de la Côte d'Ivoire a eu lieu, récemment, à Cocody.
Père Dominique Traoré, secrétaire exécutif national de la Caritas Côte d’Ivoire, a, au nom des évêques Bruno Yedo et Joseph Aka, en partenariat avec le Catholics reliefs services (Crs), souligné que cette étude a été réalisée dans le Nord-Est du pays au bénéfice des populations les plus vulnérables.
Cela, en vue de rendre dynamique l’activité agricole qui y est menée et faire face aux différents défis, notamment le déplacement des populations du Burkina Faso en raison de la situation de crise.
Cependant, selon lui, ces études qui sont une satisfaction pour les populations ne sont pas une fin en soi. En ce sens qu'elles font ressortir les aspirations des populations pour la valorisation des chaînes de valeur de l’igname et de l’anacarde.
À l'en croire, cette action ne sera possible qu'avec un appui des partenaires. « Je remercie l’État de Côte d’Ivoire avec à sa tête le Président Alassane Ouattara qui est auprès des populations les plus vulnérables, à travers les ministères en charge de la Solidarité et de l’Agriculture », a-t-il déclaré.
Ngotta Kouakou Etienne, sous-directeur en charge de la coordination et de la programmation au ministère de l’Emploi et de la Protection sociale, a salué les efforts de la Caritas et du Crs en faveur des personnes vulnérables.
« Au niveau de notre ministère, nous avons un défi à relever. Il s’agit d'accroître le taux d’insertion des personnes dans le cadre des instruments de protection sociaux qui existent. En 2020, nous étions à 27%. Nous souhaitons faire passer ce taux à des proportions acceptables. C’est-à-dire à 40% d’ici à 2030. Pour ce faire, nous allons renforcer la capacité des organisations agricoles, professionnelles et des faîtières en termes de productivité », a-t-il indiqué.
Pour Serges Agnéro, conseiller municipal, représentant le maire de la commune de Cocody, ces études ne sont pas de simples diagnostics, « elles sont porteuses d’espoir, offrant des solutions concrètes pour renforcer la compétitivité de nos filières agricoles et répondre aux besoins essentiels de sécurité alimentaire, d’accès à l’eau, de la santé et de l’éducation. Elles tracent la voie vers une Côte d’Ivoire plus résiliente, inclusive et fraternelle ».
À travers une approche interactive, cet atelier a présenté les importants résultats réalisés et les recommandations, tout en proposant des stratégies.
Cela, en vue de rendre dynamique l’activité agricole qui y est menée et faire face aux différents défis, notamment le déplacement des populations du Burkina Faso en raison de la situation de crise.
Cependant, selon lui, ces études qui sont une satisfaction pour les populations ne sont pas une fin en soi. En ce sens qu'elles font ressortir les aspirations des populations pour la valorisation des chaînes de valeur de l’igname et de l’anacarde.
À l'en croire, cette action ne sera possible qu'avec un appui des partenaires. « Je remercie l’État de Côte d’Ivoire avec à sa tête le Président Alassane Ouattara qui est auprès des populations les plus vulnérables, à travers les ministères en charge de la Solidarité et de l’Agriculture », a-t-il déclaré.
Ngotta Kouakou Etienne, sous-directeur en charge de la coordination et de la programmation au ministère de l’Emploi et de la Protection sociale, a salué les efforts de la Caritas et du Crs en faveur des personnes vulnérables.
« Au niveau de notre ministère, nous avons un défi à relever. Il s’agit d'accroître le taux d’insertion des personnes dans le cadre des instruments de protection sociaux qui existent. En 2020, nous étions à 27%. Nous souhaitons faire passer ce taux à des proportions acceptables. C’est-à-dire à 40% d’ici à 2030. Pour ce faire, nous allons renforcer la capacité des organisations agricoles, professionnelles et des faîtières en termes de productivité », a-t-il indiqué.
Pour Serges Agnéro, conseiller municipal, représentant le maire de la commune de Cocody, ces études ne sont pas de simples diagnostics, « elles sont porteuses d’espoir, offrant des solutions concrètes pour renforcer la compétitivité de nos filières agricoles et répondre aux besoins essentiels de sécurité alimentaire, d’accès à l’eau, de la santé et de l’éducation. Elles tracent la voie vers une Côte d’Ivoire plus résiliente, inclusive et fraternelle ».
À travers une approche interactive, cet atelier a présenté les importants résultats réalisés et les recommandations, tout en proposant des stratégies.