Africa Zion Kingdom Festival : Quand émotions de foot et vibrations reggae s’entremêlent !
Annoncé comme l’évènement reggae majeur de ce début d’année 2024, l’Azk Festival (Africa Zion Kingdom Festival) a tenu toutes ses promesses. Ce sont plus de vingt spectacles live que les amateurs de reggae ont pu vivre, du 2 au 4 février, à l’espace Azk Live situé en bordure de lagune à Blockhauss.
Pour tenir le public en haleine lors de cette deuxième édition, plus d’une trentaine de faiseurs de reggae de la place ont été mobilisés. Le casting qui était un mix de figures connues et de talents émergents a fait le bonheur des mélomanes qui ont rallié l’espace.
Boni Inter, Farafina Djigui, Marco Almamy, Jah Biley, Glory Man, Jah Light, Jim Kamson, Vegetal, Kajeem, Falasha...
Voilà un aperçu de la brochette d’artistes cooptés pour rendre ce moment inoubliable. Si l’ambiance était déjà au rendez-vous de ce show, elle a été décuplée après la victoire des Éléphants face aux Aigles du Mali, dans la soirée du 3 février. Les émotions du football se sont mêlées aux vibrations reggae pour donner un cachet tout à fait spécial à cette fête.
Johanna Akon, promotrice du festival, a eu le nez creux en positionnant cet évènement au cœur de la Can. Espérant surfer sur l’engouement que suscite ce rendez-vous sportif continental.
Quelques jours plus tôt, face à la presse, cette actrice culturelle engagée pour la promotion du reggae local avait situé les enjeux. Elle avait notamment insisté sur la nécessité pour la Côte d’Ivoire de tenir la dragée haute et d'assumer le fait d'être inscrite dans le top 3 des pays les plus représentatifs du reggae dans le monde.
D’où l’importance de ce festival qui vient offrir une lucarne de promotion aux talents locaux en quête de visibilité. « En dehors de ses gros calibres qui bénéficient d’une renommée internationale, la Côte d'Ivoire regorge d'un vivier d'artistes doués qui méritent aussi d'être vus et écoutés. L'Azk festival se veut un outil pour favoriser la mise en lumière de cette relève du reggae ivoirien », avait-elle laissé entendre.
Boni Inter, Farafina Djigui, Marco Almamy, Jah Biley, Glory Man, Jah Light, Jim Kamson, Vegetal, Kajeem, Falasha...
Voilà un aperçu de la brochette d’artistes cooptés pour rendre ce moment inoubliable. Si l’ambiance était déjà au rendez-vous de ce show, elle a été décuplée après la victoire des Éléphants face aux Aigles du Mali, dans la soirée du 3 février. Les émotions du football se sont mêlées aux vibrations reggae pour donner un cachet tout à fait spécial à cette fête.
Johanna Akon, promotrice du festival, a eu le nez creux en positionnant cet évènement au cœur de la Can. Espérant surfer sur l’engouement que suscite ce rendez-vous sportif continental.
Quelques jours plus tôt, face à la presse, cette actrice culturelle engagée pour la promotion du reggae local avait situé les enjeux. Elle avait notamment insisté sur la nécessité pour la Côte d’Ivoire de tenir la dragée haute et d'assumer le fait d'être inscrite dans le top 3 des pays les plus représentatifs du reggae dans le monde.
D’où l’importance de ce festival qui vient offrir une lucarne de promotion aux talents locaux en quête de visibilité. « En dehors de ses gros calibres qui bénéficient d’une renommée internationale, la Côte d'Ivoire regorge d'un vivier d'artistes doués qui méritent aussi d'être vus et écoutés. L'Azk festival se veut un outil pour favoriser la mise en lumière de cette relève du reggae ivoirien », avait-elle laissé entendre.