Parade des Éléphants : Un monde "fou" aux feux de Palm club hôtel jusqu'à Saint Jean

Un monde "fou" à la rencontre de ses joueurs. (Photo Bavane)
Un monde "fou" à la rencontre de ses joueurs. (Photo Bavane)
Un monde "fou" à la rencontre de ses joueurs. (Photo Bavane)

Parade des Éléphants : Un monde "fou" aux feux de Palm club hôtel jusqu'à Saint Jean

Le 12/02/24 à 17:46
modifié 12/02/24 à 23:11
For-mi-da-ble ! C’était tout simplement magnifique de voir les Ivoiriens faire « corps » avec leur équipe nationale dans l’après-midi de ce lundi 12 février 2024, lors de la parade des Eléphants au lendemain de leur sacre face au Nigeria (2-1).

Ainsi, des feux tricolores de Palm club hôtel au carrefour Saint Jean en passant par ceux de la vie et de la Rti, c’était des Ivoiriens qui avaient « soif » de communier avec leurs stars après la victoire de la veille. L’on pouvait les entendre crier de joie sous ce soleil à attendre de voir l'entraîneur Emerse Faé et ses poulains.

Ils attendaient leurs héros. (Photo Bavane)
Ils attendaient leurs héros. (Photo Bavane)



Femmes, hommes et enfants ne voulaient pas se faire conter cet autre match après la victoire. Ils se sont donc massés tout le long de la voie habillés couleurs nationales en chantant pour certains.

« Le coup du marteau » est devenu le refrain populaire comme pour dire, c’est fait après le coup du marteau des joueurs, place à la mobilisation pour un hommage aux Pachydermes.

« Je suis tellement heureux que je n’arrive pas à contenir ma joie. Je vis ma joie comme si c’était hier (ndlr, le 11 février) après notre victoire. Quoi de plus normal de venir dire merci à nos héros par nos simples cris de joie en bordure de la voie en les voyant passer. Je suis fier, fier d’être un Ivoirien », a déclaré Ibrahim Bakayoko, machiniste à la Sotra. Il s’était posté au carrefour de la vie.

« Nous sommes des supporters mazo. Malgré tout, nous les supportons et nous continuerons à les supporter. C’est le sang ivoirien qui circule dans nos veines. Nous sommes avec eux aujourd’hui et pour toujours. Eléphants, c’est nous les supporters d’abord », a lâché Charlène Assemian, une supportrice positionnée au carrefour Saint Jean.



Le 12/02/24 à 17:46
modifié 12/02/24 à 23:11