Financement du terrorisme: Le dispositif opérationnel de prévention, de détection et de répression davantage renforcé
Le décret d’application de l’Ordonnance du 30 mars 2022 portant régime des sanctions administratives contre le blanchiment de capitaux, le financement du terrorisme et la prolifération des armes de destruction massive a été adopté en Conseil des ministres ce 14 février 2024. Le gouvernement ivoirien a donc décidé de réduire la menace terroriste sur son sol en privant les acteurs de ressources financières.
Avec cette mesure, les équipes commises à cette tâche sont désormais opérationnelles avec des feuilles de route et des orientations claires.
Le ministre de la Communication et des Médias, Amadou Coulibaly, porte-parole du gouvernement, explique que « ce décret détermine les autorités de contrôle en matière de lutte contre le blanchiment de capitaux, le financement du terrorisme et de la prolifération des armes de destruction massive, précise leurs attributions, ainsi que l’organisation pratique de la conduite des contrôles ».
Au dire d’Amadou Coulibaly, le décret spécifie également les modalités d’évaluation sectorielle des risques ainsi que les modalités de financement des activités contenues dans le plan d’actions.
En plus des moyens tactiques et opérationnels qui donnent déjà des résultats salués, notamment dans sa partie septentrionale, la Côte d’Ivoire se donne désormais les moyens de ne pas servir de source, de tremplin ou encore de zone de transit pour le financement du terrorisme.
Le ministre de la Communication et des Médias, Amadou Coulibaly, porte-parole du gouvernement, explique que « ce décret détermine les autorités de contrôle en matière de lutte contre le blanchiment de capitaux, le financement du terrorisme et de la prolifération des armes de destruction massive, précise leurs attributions, ainsi que l’organisation pratique de la conduite des contrôles ».
Au dire d’Amadou Coulibaly, le décret spécifie également les modalités d’évaluation sectorielle des risques ainsi que les modalités de financement des activités contenues dans le plan d’actions.
En plus des moyens tactiques et opérationnels qui donnent déjà des résultats salués, notamment dans sa partie septentrionale, la Côte d’Ivoire se donne désormais les moyens de ne pas servir de source, de tremplin ou encore de zone de transit pour le financement du terrorisme.