2è édition du Sicema : Le coaching éthique et l’Autorité pour la Bonne gouvernance à pied d’œuvre pour un Ivoirien nouveau
Pour lui, le coaching qui par définition est l’accompagnement professionnel des personnes ou des groupes de personnes dans le but de mobiliser leurs ressources propres en vue de l’atteinte de leur objectif, se présente comme un moteur essentiel de la mise en œuvre d’un tel idéal.
C’est pourquoi, a dit le master coach, Jean François Yoman : « Nous voudrions à travers cette plateforme donner l’occasion à la Haute autorité pour la bonne gouvernance d’avoir la possibilité de s’adresser directement à la population, à la société civile ainsi qu’aux institutionnelles... de sorte que l’Ivoirien nouveau que nous coachs professionnels accompagnons, comprenent et intègrent ces valeurs de bonne gouvernance », a-t-il dit.

Pour sa part le représentant du parrain Zoro Bi Ballo a salué et félicité l’initiative de ce salon dont les enjeux, a-t-il dit, contribuent à la promotion de la bonne gouvernance et à la lutte contre la corruption qui révèlent des missions de la Habg. A l’entendre, l'Autorité « explicitement et implicitement » fait du coaching qui touche d’abord à l’individu dans ses rapports avec les biens de la collectivité dont on lui a confié la gestion. Ensuite, les institutions qui doivent en assurer la garde selon les règles communément définies et enfin l’Etat à qui revient la répartition « équitable ». A l’entendre, le modèle ivoirien de la bonne gouvernance a voulu mettre en place au cours de sa première prévention notamment pendant 10 ans une sorte de coaching à tous les assujettis aux normes d’un Etat qui fonctionne selon « les normes définies, acceptées et partagées . Le président Zoro Bi Ballo Epiphane, qui n’a pas hésité à accorder son parrainage, attend les idées qui en sortiront pour renforcer la politique de la bonne gouvernance ».
Notons que tout au long de ce salon la notion de bonne gouvernance sera définie sous plusieurs angles à travers des panels sur la gouvernance de la famille, de la santé mentale et celle de l’entreprise.
DANIELLE SERI (stagiaire)