Autonomisation: La Fondation AWI initie une dizaine de formations au profit des femmes du monde agricole
Dans le cadre de ses activités de l’année 2024, la Fondation Awi qui s’investit dans l’autonomisation des femmes rurales initie une dizaine de sessions de formation au profit de celles dans la chaine des valeurs agricoles. Le lancement a été faite le jeudi 29 février 2024 dans ses locaux sis à Cocody-Riviera Golf (Abidjan) par la première séance desdits ateliers.
« La pérennité des sources d’approvisionnement : La qualité des sols, qualité des intrants dans un contexte de changement climatique et présentation des variétés améliorées ». Tel est la thématique développée à cette première session. Selon le formateur, N’Cho Patrick, économiste agricole, il s’agit d’informer les femmes sur les stratégies et politiques vivrières de la Côte d’Ivoire. Les informer également sur le rôle de l’Agence du foncier rural (Afor) pour la sécurisation des terres. Il s’agit aussi d’informer les participantes sur le rôle du Centre national de recherche agronomique (Cnra) et l’importance des semences améliorées pour lutter contre les changements climatiques.
Outre le formateur principal, trois expertes issues du ministère de l’Agriculture et de la production vivrière ainsi qu’une spécialiste de l’Afor ont été invitées. Les participants ont saisi cette opportunité qui leur est offerte pour poser leurs préoccupations. Elles ont relevé particulièrement la problématique de la logistique. Elles ont soulevé le besoin de camions pour ravitailler les zones urbaines pour approvisionner les marchés. Elles précisent d’ailleurs que c’est cette facilitation qui palliera la question de la cherté de la vie. Associé à cela, la conservation des produits qui est un véritable problème. Elles demandent de ce fait l’installation de chambres froides dans leurs zones de production en vue d’une bonne distribution de leurs vivriers.
Au cours de l’année 2024, plusieurs thématiques seront débattues avec les femmes. Outre l’approvisionnement des matières premières pour cette première session, l’on peut citer, entre autres, la vulgarisation des procédés de transformation, la distribution, la commercialisation des produits, l’accès au marché, le marketing digital et la communication.
La présidente de la Fondation Awi, Mariam Fadiga Fofana, se réjouit de ces formations qui participent de la gestion des activités des femmes initiées. Pour elle, pour mieux les accompagner, il faut les écouter et entendre leurs différentes préoccupations. D’où l’organisation des différentes ateliers, dans la droite ligne du projet « Awi Permanences », pour leur permettre de s’exprimer.
Il faut rappeler que les « Awi Permanences » sont organisées depuis 2018 à la suite du Forum femme développement. Cette initiative a permis déjà d’accompagner environ 400 femmes dans le secteur de l’agriculture.
Outre le formateur principal, trois expertes issues du ministère de l’Agriculture et de la production vivrière ainsi qu’une spécialiste de l’Afor ont été invitées. Les participants ont saisi cette opportunité qui leur est offerte pour poser leurs préoccupations. Elles ont relevé particulièrement la problématique de la logistique. Elles ont soulevé le besoin de camions pour ravitailler les zones urbaines pour approvisionner les marchés. Elles précisent d’ailleurs que c’est cette facilitation qui palliera la question de la cherté de la vie. Associé à cela, la conservation des produits qui est un véritable problème. Elles demandent de ce fait l’installation de chambres froides dans leurs zones de production en vue d’une bonne distribution de leurs vivriers.
Au cours de l’année 2024, plusieurs thématiques seront débattues avec les femmes. Outre l’approvisionnement des matières premières pour cette première session, l’on peut citer, entre autres, la vulgarisation des procédés de transformation, la distribution, la commercialisation des produits, l’accès au marché, le marketing digital et la communication.
La présidente de la Fondation Awi, Mariam Fadiga Fofana, se réjouit de ces formations qui participent de la gestion des activités des femmes initiées. Pour elle, pour mieux les accompagner, il faut les écouter et entendre leurs différentes préoccupations. D’où l’organisation des différentes ateliers, dans la droite ligne du projet « Awi Permanences », pour leur permettre de s’exprimer.
Il faut rappeler que les « Awi Permanences » sont organisées depuis 2018 à la suite du Forum femme développement. Cette initiative a permis déjà d’accompagner environ 400 femmes dans le secteur de l’agriculture.