Employabilité: Plaidoyer pour une mise à contribution accrue de la formation professionnelle et technique
Faire de l’enseignement technique et de la formation professionnelle un levier de l’employabilité et de l’accès au marché du travail des jeunes ivoiriens. C’est l’enjeu du chapitre 2 de diffusion et d’engagement politique de la Coalition panafricaine pour la transformation du projet emploi et compétences des jeunes en Côte d’Ivoire (Yes Pact Ci).
Le lancement de cette seconde phase a donné lieu, mardi dernier, à un atelier organisé par le Centre de recherche microéconomique du développement (Cremide) à l’Université Félix Houphouët-Boigny de Cocody.
Cette rencontre, financée par le Centre africain pour la transformation économique (Acet), visait à porter le plaidoyer en faveur d’une orientation accrue des apprenants dans les établissements techniques, de formation professionnelle et d’apprentissage en Côte d’Ivoire. L’ambition des dirigeants ivoiriens étant de porter le taux de fréquentation dans cet ordre d’enseignement de 5 % actuellement à 15 % à l’horizon 2030.
Le directeur du Cremide, Clément Kouakou, a indiqué que ce programme en cours depuis 2017 visait prioritairement la formation d’une main-d’œuvre prête pour la quatrième révolution industrielle. Il a rappelé les résultats attendus de cet atelier. Qui sont, entre autres, d’informer les principaux acteurs du système de l’Enseignement technique, de la formation professionnelle et de l’apprentissage (Etfpa) et du système productif sur le second chapitre Yes Pact Ci, de présenter et discuter du draft diagnostic avec les participants et de recueillir des informations dans le but d’enrichir les réflexions et activités de ce chapitre 2.
Andon Fofana, vice-doyen de l’Ufr Sciences économiques et de gestion, s’est félicité de cet atelier qui vise en réalité à promouvoir la formation et l’apprentissage de métier. Deux leviers essentiels qui permettent d’être compétitifs sur le marché du travail et de s’insérer rapidement dans le tissu professionnel.
Cette rencontre, financée par le Centre africain pour la transformation économique (Acet), visait à porter le plaidoyer en faveur d’une orientation accrue des apprenants dans les établissements techniques, de formation professionnelle et d’apprentissage en Côte d’Ivoire. L’ambition des dirigeants ivoiriens étant de porter le taux de fréquentation dans cet ordre d’enseignement de 5 % actuellement à 15 % à l’horizon 2030.
Le directeur du Cremide, Clément Kouakou, a indiqué que ce programme en cours depuis 2017 visait prioritairement la formation d’une main-d’œuvre prête pour la quatrième révolution industrielle. Il a rappelé les résultats attendus de cet atelier. Qui sont, entre autres, d’informer les principaux acteurs du système de l’Enseignement technique, de la formation professionnelle et de l’apprentissage (Etfpa) et du système productif sur le second chapitre Yes Pact Ci, de présenter et discuter du draft diagnostic avec les participants et de recueillir des informations dans le but d’enrichir les réflexions et activités de ce chapitre 2.
Andon Fofana, vice-doyen de l’Ufr Sciences économiques et de gestion, s’est félicité de cet atelier qui vise en réalité à promouvoir la formation et l’apprentissage de métier. Deux leviers essentiels qui permettent d’être compétitifs sur le marché du travail et de s’insérer rapidement dans le tissu professionnel.