Allaitement maternel : 14 pays africains en concertation à Abidjan sur l'application des mesures juridiques adoptées
Des experts de 14 pays africains sont en conclave du 12 au 14 mars 2024, à Abidjan pour discuter sur le renforcement du suivi et de l'application des mesures juridiques adoptées pour protéger l'allaitement maternel en Afrique de l'Ouest et du Centre.
Cette rencontre est l’occasion pour les participants de partager les expériences, les réussites et les défis en vue de formuler des plans d’actions permettant d’accélérer la mise en œuvre des lois adoptées.
Procédant à l’ouverture de cet atelier régional, le ministre de la Santé, de l’Hygiène Publique et de la Couverture Maladie Universelle, Pierre N'gou Dimba a réitéré la détermination du gouvernement ivoirien à poursuivre la mobilisation et le renforcement des efforts pour protéger l'allaitement maternel. A cet effet, il propose un plan multisectoriel qui vise à accroitre le taux d’allaitement exclusif de 34% en 2021 à 72% d’ici 2025.
Ce plan comprend une forte sensibilisation et mobilisation pour encourager l’adoption des pratiques optimales d’alimentation du nourrisson et du jeune enfant, ainsi que la mise en place d’un dispositif règlementaire pour l’attribution du label ‘’structure sanitaire amie des bébés’’ à l’ensemble des structures sanitaires offrant des services au couple mère-enfant.
La Côte d’Ivoire s’est résolument inscrite, a-t-il soutenu, dans la recommandation en adoptant le Code de Commercialisation des Substituts du Lait Maternel en 2013, à travers le décret n°2013-416 portant règlementation de la commercialisation des substituts du lait maternel. A cela, s’ajoute la prise d’arrêtés interministériels entre les Ministères en Charge du Commerce, de la communication ainsi que de la Femme, la Famille et de l’Enfant.
Ce cadre législatif a permis au pays hôte de mettre en place le dispositif de suivi institutionnel multisectoriel, à savoir le Comité National pour la Promotion, la Protection, le soutien à l’Allaitement maternel et au Développement de la Petite Enfance (Conape).
Rappelons que ces lois sont mises en place pour réguler la commercialisation des substituts du lait maternel dans les pays, afin d’éviter tout impact négatif sur les mères allaitantes et leurs enfants, notamment les couches les plus vulnérables dont les enfants de moins de 5 ans.
Procédant à l’ouverture de cet atelier régional, le ministre de la Santé, de l’Hygiène Publique et de la Couverture Maladie Universelle, Pierre N'gou Dimba a réitéré la détermination du gouvernement ivoirien à poursuivre la mobilisation et le renforcement des efforts pour protéger l'allaitement maternel. A cet effet, il propose un plan multisectoriel qui vise à accroitre le taux d’allaitement exclusif de 34% en 2021 à 72% d’ici 2025.
Ce plan comprend une forte sensibilisation et mobilisation pour encourager l’adoption des pratiques optimales d’alimentation du nourrisson et du jeune enfant, ainsi que la mise en place d’un dispositif règlementaire pour l’attribution du label ‘’structure sanitaire amie des bébés’’ à l’ensemble des structures sanitaires offrant des services au couple mère-enfant.
La Côte d’Ivoire s’est résolument inscrite, a-t-il soutenu, dans la recommandation en adoptant le Code de Commercialisation des Substituts du Lait Maternel en 2013, à travers le décret n°2013-416 portant règlementation de la commercialisation des substituts du lait maternel. A cela, s’ajoute la prise d’arrêtés interministériels entre les Ministères en Charge du Commerce, de la communication ainsi que de la Femme, la Famille et de l’Enfant.
Ce cadre législatif a permis au pays hôte de mettre en place le dispositif de suivi institutionnel multisectoriel, à savoir le Comité National pour la Promotion, la Protection, le soutien à l’Allaitement maternel et au Développement de la Petite Enfance (Conape).
Rappelons que ces lois sont mises en place pour réguler la commercialisation des substituts du lait maternel dans les pays, afin d’éviter tout impact négatif sur les mères allaitantes et leurs enfants, notamment les couches les plus vulnérables dont les enfants de moins de 5 ans.