Coopération bilatérale: L’Agence américaine pour le commerce et le développement explore des opportunités d’affaires en Côte d’Ivoire
Outre les nombreux projets G to G qu’elle a visité le 19 mars 2024, la directrice de l’Agence américaine pour le commerce et le développement (Ustda), Enoh T. Ebong, a indiqué que son institution veut donner un coup d’accélérateur à la coopération entre les deux secteurs privés. C’était au cours d’une conférence de presse qu’elle a co-animée avec l’ambassadeur des États-Unis en Côte d’Ivoire, S.E.Mme Jessica Davis Ba, à Abidjan-Cocody.
Cet engagement, Enoh T. Ebong l’avait évoqué un peu plus tôt, alors qu’elle présidait un atelier sur le financement vert et durable entre les États-Unis et l’Afrique, organisé en collaboration avec la Banque africaine de développement (Bad).
À l’occasion, elle a échangé avec les patrons d’entreprises américaines et africaines en matière de développement et de financement de projets. Et en a profité pour leur présenter des solutions permettant de réduire l’important déficit de financements relativement aux priorités du continent en matière d’infrastructures intelligentes sur le plan climatique.
Enoh T. Ebong a estimé que « la Côte d’Ivoire est un hub sous-régional qui attire les investisseurs ». Le pays constitue donc un tremplin pour implémenter des solutions innovantes pour une croissance inclusive.
Au dire de la directrice de l’Ustda, la Côte d’Ivoire répond aux critères de sélection « de pays pré ou émergents qui ont une vision claire de leur développement » avec lesquels son institution s’engage à accompagner et à connecter au marché américain.
En outre, Enoh T. Ebong a souligné le soutien de l’Ustda à l’initiative Agia (Alliance for green infrastructure in Africa) d’Africa50. Qui vise à mobiliser des capitaux pour l’infrastructure climatique transformationnelle.
Pour appuyer cet objectif, l’Ustda a consacré des fonds pour l’identification de propositions d’infrastructures vertes qui nécessitent l’élaboration de projets sous forme de subvention. Ces activités potentielles seraient structurées de manière à répondre aux exigences des partenaires financiers de l’Agia en matière de prêts, a-t-elle précisé.
Relativement au portefeuille de projets des États-Unis en Côte d’Ivoire, notamment des mini-réseaux solaires décentralisés pour une centaine de communautés et une centrale électrique biomasse des tiges de coton dans la région de Boundiali pour le réseau national, S.E.Mme Jessica Davis Ba a indiqué qu’il s’agit d’ouvrir la voie à de plus grands projets en encourageant les investisseurs américains.
À l’occasion, elle a échangé avec les patrons d’entreprises américaines et africaines en matière de développement et de financement de projets. Et en a profité pour leur présenter des solutions permettant de réduire l’important déficit de financements relativement aux priorités du continent en matière d’infrastructures intelligentes sur le plan climatique.
Enoh T. Ebong a estimé que « la Côte d’Ivoire est un hub sous-régional qui attire les investisseurs ». Le pays constitue donc un tremplin pour implémenter des solutions innovantes pour une croissance inclusive.
Au dire de la directrice de l’Ustda, la Côte d’Ivoire répond aux critères de sélection « de pays pré ou émergents qui ont une vision claire de leur développement » avec lesquels son institution s’engage à accompagner et à connecter au marché américain.
En outre, Enoh T. Ebong a souligné le soutien de l’Ustda à l’initiative Agia (Alliance for green infrastructure in Africa) d’Africa50. Qui vise à mobiliser des capitaux pour l’infrastructure climatique transformationnelle.
Pour appuyer cet objectif, l’Ustda a consacré des fonds pour l’identification de propositions d’infrastructures vertes qui nécessitent l’élaboration de projets sous forme de subvention. Ces activités potentielles seraient structurées de manière à répondre aux exigences des partenaires financiers de l’Agia en matière de prêts, a-t-elle précisé.
Relativement au portefeuille de projets des États-Unis en Côte d’Ivoire, notamment des mini-réseaux solaires décentralisés pour une centaine de communautés et une centrale électrique biomasse des tiges de coton dans la région de Boundiali pour le réseau national, S.E.Mme Jessica Davis Ba a indiqué qu’il s’agit d’ouvrir la voie à de plus grands projets en encourageant les investisseurs américains.