Propriété intellectuelle : Des chercheurs ivoiriens formés sur les mécanismes de brevetage
Dans l’optique de protéger les inventions et innovations technologiques, le Fonsti-Pasres en partenariat avec le Science Granting Council Initiative forme les chercheurs sur les mécanismes de brevetage des résultats de recherche du 3 au 4 avril 2024, au Centre national de calcul de Bingerville.
Ces chercheurs qui sont en réalité les lauréats des projets de recherche et d’innovation technologique financés par le Fonds pour la science, la technologie et l'innovation (Fonsti), seront formés sur « le mécanisme de brevetage des résultats de recherche ».
Ils bénéficieront des séances de formation théorique sur les principes généraux et outils de la propriété intellectuelle, et des cas pratiques d’élaboration, de montage d’un dossier de brevet. Cela leur permettra d’avoir une bonne connaissance des conditions d’obtention et de conservation des brevets, ainsi qu’une parfaite maîtrise de la procédure de brevetage.
Au terme des deux jours, ils devront être en mesure de breveter leurs résultats et innovations technologiques afin de pouvoir garantir leur droit de propriété intellectuelle au stade de la valorisation économique et de la transformation industrielle de ces résultats brevetables.
Lire aussi : Propriété intellectuelle: Un cadre juridique pour protéger les auteurs
Dr Sorh Souleymane, directeur des brevets d’invention, d’innovation et de transfert de technologie de l’Office ivoirien de la propriété intellectuelle (Oipi), a salué cette initiative du Fonsti. Qui, selon lui, permettra aux chercheurs ivoiriens de s'approprier l'outil de la « beauté intellectuelle » pour valoriser les résultats.
Des résultats qui, pour lui, serviront de solutions aux industries et hisseront la Côte d’Ivoire à un haut niveau de développement. « La propriété intellectuelle est un titre qui est accordé à un inventeur pour lui permettre d’avoir le monopole de son invention et d'avoir l'autorisation d'interdire les autres de faire autant que lui », a expliqué Dr Sorh Souleymane.
Lire aussi : Contrefaçons et propriété intellectuelle
Avant de lancer ledit séminaire, Pr Toh Alain, membre du conseil d’administration du Fonsti, a fait savoir que beaucoup de chercheurs travaillent. Cependant, la Côte d’Ivoire n’a pas encore d’Agence nationale de la recherche. Ce qui suscite la question du brevetage et celle de la protection des résultats de recherche d’où l’organisation dudit atelier.
Ils bénéficieront des séances de formation théorique sur les principes généraux et outils de la propriété intellectuelle, et des cas pratiques d’élaboration, de montage d’un dossier de brevet. Cela leur permettra d’avoir une bonne connaissance des conditions d’obtention et de conservation des brevets, ainsi qu’une parfaite maîtrise de la procédure de brevetage.
Au terme des deux jours, ils devront être en mesure de breveter leurs résultats et innovations technologiques afin de pouvoir garantir leur droit de propriété intellectuelle au stade de la valorisation économique et de la transformation industrielle de ces résultats brevetables.
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Dr Sorh Souleymane, directeur des brevets d’invention, d’innovation et de transfert de technologie de l’Office ivoirien de la propriété intellectuelle (Oipi), a salué cette initiative du Fonsti. Qui, selon lui, permettra aux chercheurs ivoiriens de s'approprier l'outil de la « beauté intellectuelle » pour valoriser les résultats.
Des résultats qui, pour lui, serviront de solutions aux industries et hisseront la Côte d’Ivoire à un haut niveau de développement. « La propriété intellectuelle est un titre qui est accordé à un inventeur pour lui permettre d’avoir le monopole de son invention et d'avoir l'autorisation d'interdire les autres de faire autant que lui », a expliqué Dr Sorh Souleymane.
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Avant de lancer ledit séminaire, Pr Toh Alain, membre du conseil d’administration du Fonsti, a fait savoir que beaucoup de chercheurs travaillent. Cependant, la Côte d’Ivoire n’a pas encore d’Agence nationale de la recherche. Ce qui suscite la question du brevetage et celle de la protection des résultats de recherche d’où l’organisation dudit atelier.