JO de Paris 2024 : Le logo de l’événement au cœur d’une bataille judiciaire
Les prochains Jeux olympiques se dérouleront du 26 juillet au 11 août 2024, à Paris en France. À quelques mois de cette célébration, le logo de l’événement est au cœur d’une bataille judiciaire. Des faits rapportés par le site lemonde.fr.
Selon le média, le designer Sylvain Boyer, à l’origine de l’emblème de la compétition? a porté plainte pour « favoritisme et trafic d’influence, contrefaçon et recel ». Le plaignant estime avoir été illégalement évincé par le comité d’organisation en 2020, au profit d’une filiale du groupe de communication Havas.
Confirmant avoir reçu une plainte, le Parquet national financier (Pnf) a fait savoir que ladite plainte est en cours d’analyse avant une éventuelle ouverture d’enquête. Si et seulement si les allégations en question sont jugées objectivées ou objectivables.
Les faits. En 2019, le marché public lié à la création et au déploiement du logo des Jeux olympiques est attribué à Sylvain Boyer et estimé à près de 1 million d’euros pour une durée prévisionnelle de quatre ans en cas de renouvellement annuel. En 2020, ce dernier estime avoir été évincé d’un marché qui portait, au-delà de l’emblème, sur la conception de l’identité visuelle des JO, sa déclinaison sur « tous types de supports » et l’accompagnement du Comité d’organisation des jeux (Cojop) sur ces questions.
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Après avoir conçu l’emblème et la typographie de l’événement, la société de Sylvain Boyer, Ecobranding et son partenaire Royalties apprenaient, en janvier 2020, que le marché ne serait finalement pas renouvelé au-delà de la première année. Le Comité d’organisation des JO de Paris (Cojop) a justifié sa décision de ne pas reconduire le marché, début 2020, en raison de « l’évolution des besoins de Paris 2024 ». Le marché a été finalement attribué en avril 2020 à une autre agence. Celle de W&Cie (devenue aujourd’hui W Conran), filiale du groupe Havas, et Havas Sports & Entertainment après un appel d’offres.
Lire aussi : Jeux olympiques : Le Cno-Civ présente Paris 2024
Un nouveau marché intitulé « création et développement des identités visuelles des marques, labels et assets ».
Selon M. Boyer, le nouveau marché a repris une partie des missions attribuées précédemment à Ecobranding et Royalties. Cependant, Sylvain Boyer n’a pu postuler en raison des critères de sélection imposés par le Cojop.
Confirmant avoir reçu une plainte, le Parquet national financier (Pnf) a fait savoir que ladite plainte est en cours d’analyse avant une éventuelle ouverture d’enquête. Si et seulement si les allégations en question sont jugées objectivées ou objectivables.
Les faits. En 2019, le marché public lié à la création et au déploiement du logo des Jeux olympiques est attribué à Sylvain Boyer et estimé à près de 1 million d’euros pour une durée prévisionnelle de quatre ans en cas de renouvellement annuel. En 2020, ce dernier estime avoir été évincé d’un marché qui portait, au-delà de l’emblème, sur la conception de l’identité visuelle des JO, sa déclinaison sur « tous types de supports » et l’accompagnement du Comité d’organisation des jeux (Cojop) sur ces questions.
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Après avoir conçu l’emblème et la typographie de l’événement, la société de Sylvain Boyer, Ecobranding et son partenaire Royalties apprenaient, en janvier 2020, que le marché ne serait finalement pas renouvelé au-delà de la première année. Le Comité d’organisation des JO de Paris (Cojop) a justifié sa décision de ne pas reconduire le marché, début 2020, en raison de « l’évolution des besoins de Paris 2024 ». Le marché a été finalement attribué en avril 2020 à une autre agence. Celle de W&Cie (devenue aujourd’hui W Conran), filiale du groupe Havas, et Havas Sports & Entertainment après un appel d’offres.
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Un nouveau marché intitulé « création et développement des identités visuelles des marques, labels et assets ».
Selon M. Boyer, le nouveau marché a repris une partie des missions attribuées précédemment à Ecobranding et Royalties. Cependant, Sylvain Boyer n’a pu postuler en raison des critères de sélection imposés par le Cojop.