Politique, économie, santé, éducation... : La Grande tribune citoyenne démarre le 26 avril à Abidjan
Une structure veut réunir les décideurs publics et les portes-paroles de la société ivoirienne autour des sujets cruciaux : Politique, économie, société, gestion des collectivités locales, santé, éducation, etc.
Il s’agit, selon un communiqué de l’organisateur, Pi-Côte d’Ivoire, d’un débat pour discuter, proposer et orienter la mise en œuvre des politiques et décisions publiques.
L’entité organise à cet effet la « Grande tribune citoyenne », le rendez-vous des décideurs publics. La première édition se tiendra le 26 avril 2024, à la salle de conférence de la Chambre de commerce et d’industrie de Côte d’Ivoire (Cci-Ci), à Abidjan-Plateau.
« La femme ivoirienne à la croisée des chemins entre représentativité, impacts et société ». Tel est le thème au coeur de ce premier numéro. Il sera débattu par quatre experts ou personnalités politiques dont Jean-Louis Billon.
La « Grande tribune citoyenne » se veut un canal de propositions citoyennes aux décideurs, un moment d’expression démocratique directe et de témoignages, mais aussi de dénonciation.
A travers cet espace, les participants auront une occasion de parler de leurs besoins, « de débattre de manière constructive afin d’avancer positivement sur les questions qui touchent la femme, la famille et l’enfant en Côte d’Ivoire. »
L’entité organise à cet effet la « Grande tribune citoyenne », le rendez-vous des décideurs publics. La première édition se tiendra le 26 avril 2024, à la salle de conférence de la Chambre de commerce et d’industrie de Côte d’Ivoire (Cci-Ci), à Abidjan-Plateau.
« La femme ivoirienne à la croisée des chemins entre représentativité, impacts et société ». Tel est le thème au coeur de ce premier numéro. Il sera débattu par quatre experts ou personnalités politiques dont Jean-Louis Billon.
La « Grande tribune citoyenne » se veut un canal de propositions citoyennes aux décideurs, un moment d’expression démocratique directe et de témoignages, mais aussi de dénonciation.
A travers cet espace, les participants auront une occasion de parler de leurs besoins, « de débattre de manière constructive afin d’avancer positivement sur les questions qui touchent la femme, la famille et l’enfant en Côte d’Ivoire. »