Intelligence artificielle : Journalistes et acteurs de la société civile instruits aux enjeux
Avec l’appui technique et financier du Forum information et démocratie, le Réseau des professionnels de la presse en ligne de Côte d’Ivoire (Repprelci) a organisé un atelier de formation sur les enjeux liés à l’Intelligence artificielle (Ia) et à la désinformation dans l’espace informationnel.
Destinée aux journalistes et aux acteurs de la société civile, l’activité s’est faite autour du thème « L’IA comme bien public : garantir un contrôle démocratique de l’IA dans l’espace informationnel ». C'était le samedi 20 avril 2024, à Grand-Bassam.
Une rencontre importante, selon Lassina Sermé, président du Repprelci. Qui dans son discours d’ouverture a souligné que l’avènement de l’Intelligence artificielle a laissé place à de grandes mutations dans la sphère numérique du monde. Ce qui a engendré une multitude de méthodes de désinformation à travers les vidéos et images manipulées, les deepfake, etc.
Prenant la parole, Suy Kahofi, l’un des formateurs, a soutenu que de nombreuses personnes continuent d’utiliser l’Ia pour diffuser de fausses informations.
Pour lui, le journaliste se doit d’utiliser l’Ia comme un outil d’aide à la production. Ce, pour la vérification de l’information, la lutte contre les fausses informations. Cependant, il ne doit pas laisser l’Ia générer du contenu pour lui.
Évoquant les prochaines élections en Côte d’Ivoire, notamment la présidentielle, il a indiqué que l’heure est à la vigilance et à l’utilisation des mécanismes de communication non-violents.
Lire aussi : Korhogo : Les populations sensibilisées aux discours de haine et à la désinformation
Bien avant son intervention, Katharina Zuegel, manager du Forum information et démocratie, a présenté le rapport relatif aux enjeux de l’Ia.
Ce document a pour objectif de mettre en place des règles démocratiques sur l’Ia dont les participants doivent s’inspirer pour leurs initiatives et plaidoyers sur cet instrument. « Ce rapport propose des garde-fous, des politiques publiques, des réglementations à mettre en place par le gouvernement, mais aussi par des institutions indépendantes, à la société civile, aux médias... pour encourager l'utilisation éthique et responsable de l’Ia pour des intérêts démocratiques...», a-t-elle déclaré.
Avant d’indiquer qu’il comprend 158 pages et aborde des questions telles que le développement de systèmes d'Ia sûrs et responsables, les régimes de responsabilité, l'éthique et la gouvernance de l'Ia.
Lire aussi :Côte d’Ivoire-AIP/ Le REPRELCI à l’assaut de 1000 jeunes pour prévenir la mauvaise utilisation des réseaux sociauxUne rencontre importante, selon Lassina Sermé, président du Repprelci. Qui dans son discours d’ouverture a souligné que l’avènement de l’Intelligence artificielle a laissé place à de grandes mutations dans la sphère numérique du monde. Ce qui a engendré une multitude de méthodes de désinformation à travers les vidéos et images manipulées, les deepfake, etc.
Prenant la parole, Suy Kahofi, l’un des formateurs, a soutenu que de nombreuses personnes continuent d’utiliser l’Ia pour diffuser de fausses informations.
Pour lui, le journaliste se doit d’utiliser l’Ia comme un outil d’aide à la production. Ce, pour la vérification de l’information, la lutte contre les fausses informations. Cependant, il ne doit pas laisser l’Ia générer du contenu pour lui.
Évoquant les prochaines élections en Côte d’Ivoire, notamment la présidentielle, il a indiqué que l’heure est à la vigilance et à l’utilisation des mécanismes de communication non-violents.
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Bien avant son intervention, Katharina Zuegel, manager du Forum information et démocratie, a présenté le rapport relatif aux enjeux de l’Ia.
Ce document a pour objectif de mettre en place des règles démocratiques sur l’Ia dont les participants doivent s’inspirer pour leurs initiatives et plaidoyers sur cet instrument. « Ce rapport propose des garde-fous, des politiques publiques, des réglementations à mettre en place par le gouvernement, mais aussi par des institutions indépendantes, à la société civile, aux médias... pour encourager l'utilisation éthique et responsable de l’Ia pour des intérêts démocratiques...», a-t-elle déclaré.
Avant d’indiquer qu’il comprend 158 pages et aborde des questions telles que le développement de systèmes d'Ia sûrs et responsables, les régimes de responsabilité, l'éthique et la gouvernance de l'Ia.